Les casques de réalité virtuelle n’ont aujourd’hui plus rien d’un objet du futur. Certes, dans l’océan du high-tech, ils restent des produits de niche, mais plusieurs marques proposent désormais des modèles aboutis. Reste à savoir lesquels choisir. Nous avons regroupé ici les meilleures références en matière de réalité virtuelle et mixte.

Avec le lancement de l’Apple Vision en février 2024, le marché de la réalité augmentée et virtuelle sa repris en intérêt. Ce faisant, on envisage maintenant la VR avec un autre prisme que celui induit par la science-fiction. Un casque VR peut servir à jouer, regarder un film, faire des réunions virtuelles ou même travailler. Bref, les activités sont variées et il n’est plus vu forcément comme le produit ultime qui remplacerait tous les autres appareils comme le smartphone, l’ordinateur, etc.

Les marques sortent bon nombre de modèles, des modèles qui, en plus d’être moins chers (du moins, pour certains), proposent des visions radicalement différentes du casque VR/AR. Si cet univers vous attire, on a regroupé les meilleures options pour la réalité virtuelle, augmentée et mixte en 2025.

Quel casque VR/AR choisir en 2025 ? Le comparatif

Le Meta Quest 3S : un casque au rapport qualité-prix imbattable

Dernier casque en date, le Meta Quest 3S arrive avec une promesse : rendre la réalité virtuelle et la réalité mixte accessibles au grand public, avec un prix débutant à 329,99 €. Dans un marché avec des casques toujours plus coûteux, tel le Vision Pro d’Apple vendu près de 4 000 € ou le HTC Vive Focus Vision à plus de 1000 €, le Quest 3S fait le chemin inverse et se présente comme l’option abordable par excellence. Meta joue ici un positionnement stratégique pour une entreprise qui croit fermement en un futur démocratisé pour la VR, par le biais du métavers. Ce casque est donc particulièrement destiné à ceux qui veulent explorer les possibilités offertes par la réalité virtuelle sans se ruiner.

En termes de performances, le Quest 3S n’a pas à rougir pour autant : il utilise le même processeur Snapdragon XR2 Gen 2 et la même quantité de mémoire vive que le Quest 3. Résultat : on a un casque fluide sur la totalité des applications et des jeux, tout en étant moins cher que le Quest 3. Toutefois, c’est au niveau des lentilles que cette nouvelle version perd quelque peu en qualité. Pour beaucoup d’utilisateurs, surtout ceux qui découvrent cet univers, la différence de qualité d’affichage n’est pas un frein. Le Quest 3S conserve la même recette : il est aussi équipé des manettes de son grand frère et propose des fonctionnalités logicielles inspirées de casques haut de gamme comme le Vision Pro. On retrouve notamment le suivi des mains et le mode cinéma, où un écran géant en 2D apparaît dans l’espace virtuel. À noter que la limitation de l’écran LCD (pixels visibles, couleurs moins profondes) peut devenir évidente avec certains contenus, ce qui freine relativement l’immersion.

Se battre avec le Quest 3S fait oublier les problèmes de pixels. // Source : Alfred Tertrais / Numerama
Le Quest 3S en cours d’utilisation. // Source : Numerama

Niveau confort, le Quest 3S est un casque bien pensé : ses 515 grammes et ses sangles élastiques le rendent agréable à porter, même pour des sessions prolongées. L’autonomie de 2,5 heures, bien qu’un peu juste, reste correcte pour des usages occasionnels.

À qui s’adresse le Quest 3S ? Ce nouveau casque est clairement un produit destiné à convaincre le grand public vis-à-vis de la VR. On a ici une bonne entrée en matière pour les « débutants » dans la technologie. Le casque est très avancé en matière logicielle puisque Meta a fait de la VR/AR son leitmotiv. On retrouve tout un tas de contenu pour profiter correctement du casque.

Le Meta Quest 3 : le top rapport qualité-prix

Avec un prix catalogue autour de 550 €, le Quest 3 reste l’un des meilleurs casques VR. Il propose une fiche technique plus complète avec notamment une dalle et des lentilles de meilleure facture (lentilles Pancake avec une densité de pixels supérieure), ce qui améliore l’immersion visuelle. Le champ de vision y gagne aussi (110 degrés contre 96 pour le 3S). La batterie est également plus conséquente sur ce modèle. Bref, tout en mieux avec le même catalogue de contenu, qui est aujourd’hui la plus grande force des Quest.

Apple Vision Pro : une vision radicalement différente de la réalité virtuelle

Il n’y a pas d’offres pour le moment

Impossible de parler des meilleurs casques VR sans évoquer l’Apple Vision Pro, le produit qui a remis la réalité virtuelle et surtout la réalité mixte sur le devant de la scène. Lors de son lancement début 2024, Apple n’a pas simplement ajouté un casque à son catalogue : la marque a posé une vision, celle de « l’informatique spatiale », avec l’ambition assumée de faire évoluer notre rapport aux écrans. Fin 2025, le Vision Pro évolue avec une version équipée de la puce M5, qui remplace le modèle M2 au catalogue. Il ne s’agit pas d’un Vision Pro 2, mais d’une mise à jour de mi-génération, plus puissante, plus fluide et plus confortable — sans remettre en cause la philosophie du produit.

Cette approche reste toutefois élitiste. À près de 4 000 €, l’Apple Vision Pro (M5) demeure un objet de luxe technologique. Apple ne vend pas ici un casque VR pour jouer, mais une nouvelle manière d’interagir avec le numérique : des fenêtres flottantes ancrées dans l’espace, un bureau virtuel géant, des applications qui semblent exister physiquement autour de vous. Le matériel disparaît presque au profit de l’interface, et c’est là que le Vision Pro continue de faire la différence.

Sur le plan de l’expérience utilisateur, Apple reste seul dans sa catégorie. Le contrôle par le regard et les gestes, désormais encore plus réactif grâce à la puce M5 et à son Neural Engine plus rapide, donne l’impression que le système anticipe vos intentions. VisionOS (désormais bien plus mature) reprend les codes d’iOS et macOS, ce qui rend la prise en main immédiate pour quiconque évolue déjà dans l’écosystème Apple. Synchronisation des données, duplication d’écran du Mac, continuité des apps : tout est pensé pour que le casque s’intègre naturellement dans un usage quotidien, sans courbe d’apprentissage brutale.

Le matériel reste, lui aussi, au sommet. Les écrans micro-OLED conservent leur clarté exceptionnelle, mais la version M5 améliore sensiblement le rendu : fréquence pouvant grimper à 120 Hz, image légèrement plus nette grâce à un rendu de pixels plus élevé, et surtout ray tracing matériel, qui apporte un gain visible dans les environnements 3D et les expériences immersives avancées. L’autonomie progresse également — sans devenir miraculeuse — avec jusqu’à 3 heures en lecture vidéo, ce qui rend enfin possible le visionnage d’un long film sans stress permanent lié à la batterie.

Le nouveau bandeau, à gauche, a deux sangles réglables.
Le nouveau bandeau, à gauche, a deux sangles réglables. // Source : Numerama

Apple a aussi corrigé l’un des reproches majeurs du premier modèle : le confort. Le Vision Pro reste un casque lourd, mais il est désormais livré avec un bandeau à double sangle bien plus efficace pour répartir le poids sur le crâne. Cela ne transforme pas le casque en plume, mais améliore nettement les longues sessions, un point crucial pour un produit qui se veut être plus qu’un simple accessoire de divertissement.

À qui s’adresse l’Apple Vision Pro ? L’Apple Vision Pro (M5) ne s’adresse pas au grand public, et il ne cherche toujours pas à le faire. Il vise une niche de passionnés, en raison de son prix élevé et de ses contraintes d’usage. Il faut garder en tête que le Vision Pro dépasse le simple divertissement pour devenir un potentiel remplacement de l’ordinateur classique.

Apple Vision Pro (M5) : les meilleures offres du moment

Il n’y a pas d’offres pour le moment

HTC Vive pro 2 : un casque encore très bon sur PC

Le HTC Vive Pro 2 n’est clairement plus un casque de première jeunesse. Lancé en 2021, il arrive aujourd’hui sur un marché VR qui a énormément évolué, avec des modèles plus récents, plus légers et souvent plus polyvalents. Mais malgré son âge, le Vive Pro 2 continue de faire quelque chose que peu de casques savent encore faire aussi bien : délivrer une expérience VR PC d’une précision et d’une netteté redoutables. Il ne cherche pas à suivre les tendances actuelles (autonomie, réalité mixte, simplicité d’installation), et assume au contraire une approche pensée pour les utilisateurs déjà bien équipés.

Sur le plan visuel, le Vive Pro 2 reste très bon en 2025. Sa définition 5K (2448 × 2448 pixels par œil) lui permet d’afficher une image extrêmement fine, particulièrement appréciable dans les simulations de vol ou de course, où la lisibilité à distance est cruciale. Les tableaux de bord, les instruments et les détails lointains gagnent en clarté, là où des casques plus grand public montrent rapidement leurs limites. Le suivi SteamVR par stations de base, toujours considéré comme une référence, apporte une précision chirurgicale, idéale pour les jeux exigeants ou les usages professionnels.

Le kit complet du HTC Vive Pro 2
Le kit complet du HTC Vive Pro 2 // Source : HTC

Cette vieillesse a toutefois un revers. Le Vive Pro 2 repose sur une technologie qui commence à dater : lentilles Fresnel au sweet spot limité, reflets visibles dans certaines scènes, casque lourd et sujet à la chauffe lors de longues sessions. L’installation reste contraignante, avec câbles et stations de base, et le casque exige un PC très puissant pour exploiter pleinement sa résolution à 120 Hz.

À noter que le HTC Vive Pro 2 est vendu soit en casque seul, soit en kit complet. Le casque seul s’adresse avant tout aux utilisateurs déjà équipés de stations de base SteamVR et de contrôleurs compatibles (Vive ou Valve Index)

À qui s’adresse le HTC Vive pro 2 ? Pour les passionnés de PC VR, déjà équipés en SteamVR, ou les amateurs de simulation pour qui la finesse d’affichage et la précision du tracking priment sur tout le reste.

Pico 4 ultra : un bon concurrent du Meta Quest 3

Il n’y a pas d’offres pour le moment

Le Pico 4 Ultra se positionne face au Meta Quest 3. Au même titre que son rival, il propose un usage hybride entre réalité virtuelle et réalité mixte. Il est aussi équipé du processeur Snapdragon XR2 Gen 2, mais embarque 12 Go de mémoire vive, soit 4 Go de plus que le casque de Meta. Sa configuration en passthrough binoculaire avec capteurs de 32 mégapixels permet un rendu en haute résolution (20,6 PPD), ce qui améliore l’immersion par rapport au Quest 3, qui propose une résolution de 18 PPD.

Pico 4 ultra
Pico 4 ultra // Source : Pico

Sur le papier, c’est similaire, mais ce casque se démarque principalement en ce qui concerne le confort. Le Pico 4 Ultra intègre une batterie de 21,9 Wh placée à l’arrière pour un meilleur équilibre. Sur de longues sessions, ce type de conception peut faire la différence pour éviter une gêne.

La batterie offre environ trois heures d’utilisation et une recharge rapide de 45 W. En termes de stockage, ce modèle propose 256 Go et permet la capture vidéo 3D. Enfin, le modèle adopte le Wi-Fi 7 avec l’intégration de Pico OS et le support de diffusion sans fil de PC, Mac, et smartphones. Avec ces fonctions, ByteDance semble viser un public large, pas uniquement centré sur le gaming.

À qui s’adresse le Pico 4 Ultra ? À ceux qui cherchent une bonne alternative au Meta Quest 3 plus confortable et facile à connecter à un ordinateur. Toutefois, le contenu reste en retrait par rapport au Meta Quest 3.

Pico 4 Ultra : les meilleures offres du moment

Il n’y a pas d’offres pour le moment

PlayStation VR2 : le casque VR gaming par excellence

Le PlayStation VR2, sorti en février 2023, représente pour Sony une évolution significative de son premier casque PS VR lancé en 2016. Avec ce modèle, Sony répond à une demande de la communauté des joueurs et des joueuses qui souhaite une VR immersive et puissante, exclusivement pour la PlayStation 5. Proposé à environ 600 €, soit plus cher que la console elle-même, le PS VR2 cible les passionnés prêts à investir — même si depuis peu, le casque se trouve au rabais.

Il parie sur une approche « pure VR », quand la réalité mixte (MR) et la portabilité dominaient le marché. Comparé au PS VR1, le PS VR2 s’est adapté à la concurrence. Là où le premier modèle utilisait une caméra externe pour le suivi des mouvements, le PS VR2 intègre directement le suivi depuis le casque. Avec ses écrans OLED, le PS VR2 surpasse largement la qualité visuelle de la première génération, dont la résolution et le champ de vision étaient plus limités. Les pixels sont ici quasiment indétectables, et le confort de port a été grandement amélioré. En clair, Sony a corrigé les défauts de son premier modèle pour procurer une qualité digne des casques VR modernes. Mais, est-ce que cela suffit pour autant ?

Le PlayStation VR2 de Sony. // Source : Numerama
Le PlayStation VR2 de Sony. // Source : Numerama

Là où le PS VR2 se heurte aux nouvelles attentes, c’est par son approche filaire. Contrairement à des casques comme le Meta Quest 3 ou 3S, le casque de Sony reste attaché à la PS5 par un câble unique. Ce choix limite grandement les déplacements. De plus, ses fonctions sont exclusivement orientées VR et restreignent l’usage du casque au jeu seulement. Certes, le mode « passthrough » du PS VR2, permet de voir en noir et blanc les objets réels, mais il n’offre pas l’interaction avec l’environnement réel que d’autres casques proposent désormais avec la réalité augmentée (AR) ou mixte.

Là où il se rattrape, c’est grâce à son catalogue de jeux comprenant de bons titres comme Horizon Call of the Mountain et le catalogue Steam — mais cela pourrait être mieux si des licences populaires comme God of War ou The Last of Us venaient à proposer des versions VR. On note aussi quelques exclusivités intéressantes comme Resident Evil 4 ou Gran Turismo 7.

À qui s’adresse le PSVR2 ? Il s’adresse d’une part aux propriétaires de PS5 et par ailleurs, depuis peu, aux détenteurs d’un PC. Gardez en tête que c’est un casque purement orienté jeu vidéo.

Est-ce que ça vaut le coup d’acheter un casque VR ?

Si vous attendez des produits ultra-aboutis capables d’une immersion digne d’un film de science-fiction, alors non, en 2025, ce type de produit n’existe pas et ne semblent pour maintenant. Cependant, les casques actuels arrivent à fournir une expérience virtuelle plutôt convaincante à un prix qui devient de plus en plus abordable, à l’image du Meta Quest 3S.

Le contenu disponible s’étend au fil des années, et dans cette course, Meta mène la danse. Les casques VR/AR sont aujourd’hui davantage fait pour jouer, regarder des films ou pour un usage purement professionnel (pour de l’apprentissage, de la conception de modèle 3D ou pour faire des visioconférences).

Quelle est la différence entre réalité virtuelle et réalité augmentée ?

Bon nombre de casques sont à réalité mixte et combinent en fait les deux technologies, mais il est utile de connaître la différence.

  • La réalité virtuelle (VR) plonge l’utilisateur dans un environnement 100 % numérique, coupé du monde réel.
  • La réalité augmentée (AR), quant à elle, superpose des éléments virtuels (images, textes, animations) sur le monde réel.

Faut-il obligatoirement un PC pour faire fonctionner un casque VR ?

Au départ, les premiers casques commercialisés nécessitaient une tour PC avec une assez bonne configuration, ce qui limitait largement la démocratisation de la technologie. Depuis, les constructeurs ont fait des progrès et la plupart intègrent le nécessaire directement dans le casque — tout en offrant, pour certains, la possibilité de se connecter à un PC, comme c’est le cas du Quest 3 de Meta.

D’autres, comme certaines références de HTC, requièrent toujours une configuration PC, en plus d’un casque dont le prix dépasse déjà les 800 €. La facture peut donc rapidement devenir élevée, notamment avec l’ajout d’une tour. Seuls les modèles Focus (Focus 3 et Focus Vision), dont le coût d’acquisition dépasse les quatre chiffres, sont autonomes et compatibles PC. C’est pour cette raison que ces modèles ne sont pas inclus dans le guide, même si ces références offre en particulier une qualité de VR parmi les meilleures du marché.

Un casque VR pour le métavers ?

La notion de métavers, popularisée durant la pandémie Covid, n’a pas su convaincre les foules. Et pour cause, alors que l’on s’attendait à entrer dans des mondes virtuels ultra-réalistes aux airs de Ready Player One, on s’est retrouvés face à des environnements pixelisés dans lesquels les interactions étaient relativement réduites — voire moins aboutis que des jeux comme Second Life, sorti il y a plus de vingt ans. C’est certain, il y a la question du logiciel : la plupart des mondes virtuels estampillés métavers sont encore loin de fournir un niveau graphique convenable et des interactions immersives. Et le hardware est aussi encore en retrait avec des casques pas forcément calibrés pour des applications très gourmandes.

À ce jour, le réseau social VRChat s’en approche le plus, si l’on met de côté l’aspect graphique, en réunissant des avatars de joueurs dans des espaces 3D propices aux échanges — mais cela reste encore loin des promesses initiales.

Lentilles Fresnel ou Pancake : quelles différences ?

Les lentilles Fresnel reposent sur une structure en anneaux concentriques. Elles permettent de limiter l’épaisseur et le poids du casque tout en conservant une bonne luminosité. En revanche, elles présentent plusieurs inconvénients : le sweet spot est plus réduit. En d’autres mots, il faut trouver un réglage très précis pour éviter l’apparition de reflets lumineux sur les lentilles. La netteté est également moins homogène, avec une perte de précision visible sur les bords de l’image.

Les lentilles pancake, plus récentes, utilisent un système optique plus complexe avec des réflexions internes. Le sweet spot est beaucoup plus large et l’image est plus homogène sur l’ensemble du champ de vision avec beaucoup moins de reflets. En contrepartie, elles sont plus coûteuses à produire et nécessitent des écrans plus lumineux pour compenser la perte de luminosité.

Découvrez les bonus

+ rapide, + pratique, + exclusif

Zéro publicité, fonctions avancées de lecture, articles résumés par l'I.A, contenus exclusifs et plus encore.

Découvrez les nombreux avantages de Numerama+.

S'abonner à Numerama+

Vous avez lu 0 articles sur Numerama ce mois-ci

Il y a une bonne raison de ne pas s'abonner à

Tout le monde n'a pas les moyens de payer pour l'information.
C'est pourquoi nous maintenons notre journalisme ouvert à tous.

Mais si vous le pouvez,
voici trois bonnes raisons de soutenir notre travail :

  • 1 Numerama+ contribue à offrir une expérience gratuite à tous les lecteurs de Numerama.
  • 2 Vous profiterez d'une lecture sans publicité, de nombreuses fonctions avancées de lecture et des contenus exclusifs.
  • 3 Aider Numerama dans sa mission : comprendre le présent pour anticiper l'avenir.

Si vous croyez en un web gratuit et à une information de qualité accessible au plus grand nombre, rejoignez Numerama+.

S'abonner à Numerama+
Toute l'actu tech en un clien d'oeil

Toute l'actu tech en un clin d'œil

Ajoutez Numerama à votre écran d'accueil et restez connectés au futur !


Pour ne rien manquer de l’actualité, suivez Numerama sur Google !

Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.