Disney+ est disponible en France depuis le mardi 7 avril 2020. Il s’agit de l’offre ultime de la maison Mickey, regroupant tous les univers possédées par l’entreprise. Dans l’hexagone, elle est particulièrement intéressante pour la nostalgie des adultes et l’émerveillement des enfants : son offre cinéma souffre de la chronologie des médias et n’est pas aussi complète que le souhaiteraient les abonnés. Elle peut être achetée avec un abonnement Canal+ pour combler ces trous de catalogue.
Depuis février 2021, le montant de l’abonnement est passé à 8,99 euros par mois grâce à de nouveaux contenus dans la sections Star, et un contrôle parental plus poussé. Un abonnement annuel permet également d’économiser quelques euros : à 89,99 € par an, il revient à 7,5 € par mois.
Du côté de l’application et des services, le groupe américain a mis le paquet, proposant des versions restaurées de ses films et dessins animés, dans la plupart des langues. On peut également noter qu’on peut voir sur le service le catalogue de documentaires National Geographic, les Simpson’s et des séries exclusives (The Mandalorian, notamment).
Commentaires
Netflix, Disney+, Canal+, OCS : le comparatif 2021 des offres de SVOD en France
Les plus gros pollueurs numérique,
Les services les plus privateurs de libertés,
Les services les plus centralisateurs et minitellisants,
La présence des DRM !
Donc à boycotter !
Imagine si tout était piratable sur net, sans DRM, cela n’arrêterait pas les transfères de données voir cela les augmenterait, il n’y aurait pas de reversement pour le travail accompli et plus de nouveauté à consommer, car plus d’argent pour les financer. Les DRM c’est vrai que ça prive de la liberté de pirater…
Ce qui me gêne dans tout ça c’est les exclusivités a une plate-forme, au bout d’un certain temps on devrait retrouver ces œuvres sur les autres plates-formes, et plus longtemps après accessible librement.
Cela n’arrangerait pas totalement le problème je suis d’accord. C’est pour cela qu’il faut d’autres réglementations pour limiter l’impact à commencer par une limitation du volume des données échangées par personne et donc mettre une limite par mois sur les abonnements : 20 Go par exemple.
Il faut favoriser le p2p plutôt que les services de streaming centralisés qui consomment bien plus d’énergie qu’ils soient légaux ou pas d’ailleurs.
Enfin pour le droit d’auteur je suis plutôt favorable à une licence globale, alors oui ça implique qu’il y aura peut être moins de contenu produit et moins de ressources financières pour le faire. Mais je préfère cette situation plutôt qu’une fuite en avant vers des services centralisés qui nous enferment et qui consomment de plus en plus.
En parlant de limite cet été mes gosses ont bouffé 50 Go sur youtube en 10 jours sur un mobile, le we c’est illimité j’ai halluciné (ils étaient avec leur mère on est divorcé)
Donc 20 Go c’est pas assez
Le p2p Spotify en est revenu, je trouve ça dommage. Il pourrait y avoir un système de récompense si on maintient un gros cache pour le p2p…
1 écran, c’est SD.
Tënk a l’air très prometteur, je ne connaissais pas et vais essayer ! C’est dommage qu’ils soient techniquement si en retard comparé à leurs “concurrents”