Si vous ne savez pas à quoi peut bien servir toute la puissance du processeur Cell d’IBM dans la future PlayStation 3 de Sony, voici un bon usage : la recherche génétique. Sony et l’Université de Stanford ont en effet mis au point un client [email protected] pour la console nouvelle génération du japonais. L’équipe de Stanford explique qu’avec cette machine ils pourraient atteindre l’échelle du gigaflop par ordinateur, soit un milliard d’opérations à virgule flottante par seconde. Avec 10.000 PlayStation 3, c’est le Petaflop qui est à portée de main (un million de milliards). Le projet étudie le pliage des protéines pour lutter contre des maladies comme Alzheimer ou Huntington, et certaines formes de cancers.


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