Aux côtés de La Parisienne Libérée, l’activiste Jérémie Zimmermann revient en chanson pour défendre la neutralité du net.

S’il n’est plus le porte-parole de la Quadrature du Net, Jérémie Zimmermann reste toutefois très engagé sur les sujets rattachés au numérique. L’ancien visage de l’association de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet a d’ailleurs trouvé une nouvelle forme de militantisme, puisqu’il chante désormais aux côtés de la Parisienne Libérée dans le cadre d’un projet Datalove sur Mediapart.

Après avoir contribué à « Rien à cacher« , une chanson qui s’attarde sur les problématiques de vie privée à l’heure de la surveillance généralisée, Jérémie Zimmermann s’est impliqué dans « Genèse du net », qui se penche sur la neutralité du net. Sur ce sujet, la commission Industrie, Recherche et Énergie (ITRE) du parlement européen a adopté un texte qui permet aux opérateurs de la contourner via les services spécialisés.

À l’occasion de cette chanson, Jérémie Zimmermann en profite pour suggérer l’usage d’une autre expression pour désigner le « net neutre », dans la mesure où « la neutralité n’est ni une réalité technique, ni un principe réellement mobilisateur ». Pointant vers les remarques de Laurent Chemla sur le blog de FDN, il propose des expressions plus parlantes, comme « net universel », « net libre » ou « net ouvert ».

Les paroles de « Genèse du net » peuvent être lues sur Mediapart.


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