Ils s’étaient réjouis le 30 décembre après le vote au Sénat. Ils avaient accueilli avec satisfaction la réaction de la socialiste Anne Hidalgo lorsqu’elle s’est opposée à la licence globale. Ils s’étaient félicités de l’abandon du principe de licence globale par l’Assemblée. Ils s’étaient dits satisfaits de la réunion de crise organisée en 16 janvier par Nicolas Sarkozy. Ils s’étaient déjà réjouis de l’avis du Conseil Supérieur de la Propriété Littéraire et Artistique (CSPLA) sur le P2P.
Mais aujourd’hui le SNEP et la SCPP, les lobbys de l’industrie musicale française, ne font que « prendre note » de la décision du Conseil constitutionnelle. Comme nous l’écrivions hier, « la décision du Conseil ne pouvait placer le gouvernement et la filière culturelle dans un plus grand embarras« …

(PS : Par ailleurs il serait bon que le SNEP visite son propre site et se rende compte qu’il est buggé sous Internet Explorer et la page d’accueil totalement inutilisable sous Firefox. Il est vrai que ce dernier n’est utilisé que par 20 % des internautes…)

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