C’est suite à une investigation menée dans huit cafés internet à Londres et après avoir constaté que l’utilisateur pouvait télécharger à sa guise n’importe quelle musique pour un tarif inférieur à 7.63 euros que la justice à été saisie.
Haji-Ioannou, le propriétaire d’ Easyinternet, a déclaré vouloir faire appel du jugement prononcé par la cour de Londres.
Selon lui, son entreprise n’est pas responsable de l’utilisation des ordinateurs par ses clients. En outre, il estime que la copie musicale réalisée dans ses établissements n’est pas différente de celle réalisée lors de l’enregistrement d’une émission de télévision chez soit, laquelle est pourtant soumise aux mêmes lois sur le copyright.
Ce jugement pourrait faire jurisprudence et permettre, à terme, d’autres actions contre le téléchargement illégal de musique dans les cybercafés anglais. C’est en tout cas ce qu’espère Peter Jamieson, le président de la B.P.I.
Liens :
Le site de la B.P.I
Le site d’Easy Internet Cafe
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