En bloquant les plages d’IP utilisées par la RIAA, Overpeer, Retspan, CoPeerRight Agency ou même par les autorités des plus grandes villes, PeerGuardian réduit le risque de figurer sur les logs des chasseurs anti-P2P. La première version était déjà parfaitement fonctionnelle, mais demandait beaucoup de ressources systèmes.
PeerGuardian2 (PG2), en revanche, « bloque tous les niveaux de protocole, utilise 0% de CPU, et a une précision de 100%« , affirme Methlabs, son éditeur. En outre, PG2 bénéficiera d’une nouvelle interface, d’un logging en temps réel, d’une mise à jour automatique des listes de blocage et enfin le logiciel sera doté d’un système de plugin pour lui permettre d’être amélioré par la communauté.
« Nous ne sommes plus qu’à environ une semaine de la bêta de PG2« , annonçait jeudi notre confrère Jon Newton de p2pnet.net. Une première version de test a déjà été distribuée à quelques privilégiés. « Ca a l’air bien – simple, propre et idiot-proof« , commentait Newton.
Pour les impatients, une version Lite est d’ores et déjà disponible sur le site de Methlabs.
Télécharger PeerGuardian sur Ratiatum :
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