Pour une fois nous ne citerons pas l’introduction, mais une simple question posée par l’auteur qui résume bien la situation et la distance croissante entre l’industrie du disque et les consommateurs :
Comment justifier, par exemple, que le prix du dernier double CD audio de Johnny Halliday, « A la vie, à la mort », soit de 23,43 euros pour 97 minutes de musique, lorsque les 107 minutes du DVD Astérix et Obélix sont proposées à 20 euros ?
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