Avec plus d’un milliard de morceaux téléchargés illégalement chaque année, le Brésil constitue l’un des premiers berceaux mondial de téléchargement illégal. Plus de la moitié des disques ou dvds vendus dans le pays sont des contrefaçons. C’est pour résorber ce phénomène qu’a été créée la première association de lutte anti-piratage à voir le jour en Amérique latine, à savoir l’APCM (Associacao Antipirateria Cinema and Musica).

L’organisation, formée par l’APDIF (qui poursuit le même but au Mexique) et l’ADEPI (une association brésilienne de défense de la propriété intellectuelle), aura pour but « d’aider la police dans leurs investigations au sein des gangs criminels impliqués à la fois dans le piratage physique et online ».

Selon le conseil national brésilien anti-piratage, cette pratique toucherait en priorité le marché local, et coûterait 2 millions d’emplois par an et 15 milliards de dollars au pays, même s’il faut toujours prendre ce genre d’estimation avec des pincettes.

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