Edgar Bronfman, le patron de Warner Music, a reconnu à Reuters qu’au moins un de ses sept enfants avait très certainement déjà téléchargé illégalement de la musique sur Internet. Pour eux, pas de plainte déposée devant un tribunal (ça devait être de la musique Universal), mais un rappel aux valeurs morales. « Je leur ai expliqué ce que je pense être juste, que le principe est que voler de la musique c’est voler de la musique. Franchement, le bien c’est le bien et le mal c’est le mal, particulièrement lorsqu’un parent parle à son enfant. Une ligne claire autour de la responsabilité morale est très importante. Je peux vous assurer qu’ils ne le font plus« , a-t-il raconté. Dommage que les quelques dix mille personnes poursuivies pour les mêmes faits aux Etats-Unis n’aient pas un papa ou une maman patronne de maison de disques qui se contentera aussi d’un sermon plutôt que de sortir le crayon-fusil pour mitrailler d’une signature une plainte avec quelques milliers de dollars de dommages et intérêts…

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