Après « PC ou Mac ? », « Hippopotame ou Rhinocéros ? », « Android ou iOS ? » ou encore « Chocolatine ou Pain au chocolat », l’humanité va se poser une nouvelle question : « BB-8 ou R2-D2 ? ». La Nasa tente d’y répondre.

Attention, âmes sensibles s’abstenir. Il semblerait qu’un scientifique de la Nasa ait dit du mal du prochain Star Wars, ou du moins, du personnage que tout le monde préfère déjà : le petit droïde roulant BB-8. Cet oiseau de mauvais augure nommé Brett Kennedy a affirmé dans une vidéo qu’il ne prendrait pas avec lui BB-8 dans un vol spatial, mais se tournerait bien volontiers vers les deux papis de la saga : R2-D2 et C-3PO.

Pourquoi ? Eh bien c’est une question de physique. D’après lui, le robot roulant BB-8 ne pourrait pas être très versatile. Il ne pourrait fonctionner idéalement que sur un sol bien plat et serait obligé de faire des efforts colossaux pour franchir des obstacles, à cause de sa petite taille : « Essayer de rouler par-dessus tout et n’importe quoi est extrêmement difficile. Si vous n’avez qu’une roue, alors vous êtes bloqué et si vous n’êtes pas assez grand, la physique n’est pas de votre côté ». BB-8 cumule donc deux défauts qui le disqualifient d’office pour les missions martiennes de la Nasa.

En revanche, les deux droïdes des films précédents plairaient bien à Kennedy. D’après lui, R2-D2 peut clairement être construit aujourd’hui et fonctionner sans mal et C-3PO s’approche des robots humanoïdes sur lesquels l’agence spatiale américaine travaille pour assister les astronautes dans les vols. Pour faire simple, il affirme que C-3PO est une sorte de combinaison entre les structures robotiques actuelles de la Nasa et les assistants qu’on trouve sur nos smartphones. Reste à Siri la lourde tâche d’apprendre 33 millions de formes de communication alors qu’il peine déjà à envoyer un SMS.

BB-8 cumule donc deux défauts qui le disqualifient d’office pour les missions martiennes de la Nasa

 


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