Microsot avait promis de ne pas se servir de sa plateforme mutlijoueurs Xbox Live pour détecter les « mod-chips », ces puces qui permettent de jouer avec des jeux piratés. Avait, car ça n’est visiblement plus la politique de Seattle.

Ainsi peut-on dans les conditions d’utilisation du kit Xbox Live : « Xbox Live ne peut être utilisé qu’avec une console de jeu vidéo Xbox non modifiée, sauf pour des réparations ou des mises à jour autorisées par Microsoft. Toute tentative de désassembler, de décompiler, de créer des œuvres dérivées, de modifier, de sous-licencier, de distribuer ou d’utiliser à d’autres fins les logiciels ou le matériel de la console est formellement interdit ». Plus loin, « Microsoft peut (…) télécharger des informations depuis la Xbox utilisée pour se connecter à Xbox Live autant que nécessaire pour faire fonctionner et protéger la sécurité de Xbox Live, et pour faire valoir cet accord », ceci également pour « protéger et défendre les droits ou la propriété de Microsoft ».

Du côté des hackeurs, point d’inquiétude, puisque les puces actuelles peuvent facilement être mises à jours depuis un PC, et même désactivées par un simple interrupteur.

Mais Microsoft cherche justement à employer l’un de ces talenteux hackeurs :

« Recherche Ingénieur en conception de logiciel (…) pour récolter, évaluer et mener des analyses sur les « modification chips » (…), conduire des tests de sécurité sur les matériels et logiciels Xbox et collaborer à la mise au point de fragments de code de détection destinés à équiper les futures versions du produit. (…) Expériences appréciées dans le domaine de la cryptographie et des mécanismes de protection contre la copie. Préférence sera donnée à ceux ayant une bonne expérience dans le déplombage de jeux video. (…).« 

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