The Witcher 3: Wild Hunt vient l’air de rien de franchir deux caps loin d’être anodins. Le RPG développé par CD Projekt Red a fêté son dixième anniversaire et a passé la barre des 60 millions d’exemplaires vendus sur la décennie écoulée. Ce qui en fait d’autant plus une œuvre majeure de ces dernières années.
Mais figurez-vous que The Witcher 3: Wild Hunt a bien failli ne pas s’appeler The Witcher 3: Wild Hunt. Les développeurs avaient réfléchi à d’autres noms avant de s’arrêter sur celui-ci, comme on le découvre dans un article publié par Eurogamer le 30 mai. Ainsi, le jeu aurait pu s’appeler The Witcher 3: Northern Lights ou The Witcher 3: A Time of Axe and Sword.

Pourquoi The Witcher 3: Wild Hunt s’appelle The Witcher 3: Wild Hunt
« J’ai adoré Northern Lights. Pendant un long moment, c’était The Witcher 3: Northern Lights. On n’en a jamais fait un logo mais, sur le papier, pendant un moment, c’était ça », a dévoilé Michal Platkow-Gilewski, vice-président de la communication et des relations presse. Puis, The Witcher 3: Northern Lights est devenu The Witcher 3: A Time of Axe and Sword, qui a longtemps tenu la corde. Seul hic ? Ce nom était très difficile à prononcer : d’un point de vue marketing, ce n’était pas optimal, qui plus est pour lancer et faire connaître le troisième épisode d’une saga loin d’être hyper connue à l’époque (5 millions de copies vendues en cumulé pour les deux premiers opus).
« C’est pourquoi ce titre a vite été abandonné. Je me souviens avoir créé un document avec le nom final et c’était ce nom final, mais on avait parié avec des collègues sur le fait qu’il ne tiendrait pas longtemps », ajoute Michal Platkow-Gilewski. CD Projet Red a donc éprouvé quelques difficultés à trouver un nom satisfaisant, mais The Witcher 3: Wild Hunt a été une véritable révélation.
Wild Hunt fait effectivement référence à la Chasse Sauvage, le groupe de cavaliers spectraux qui, dans l’histoire, pourchassent Ciri en raison de ses pouvoirs (elle deviendra l’héroïne de The Witcher 4, actuellement en développement). Le nom est lié à la principale force antagoniste du jeu, en plus de sonner très, très bien quand on le prononce et d’être facile à dire — contrairement à A Time of Axe and Sword. Dix ans plus tard, on peut en conclure que ce choix est pertinent : rares sont les jeux à atteindre le seuil des 60 millions d’exemplaires vendus.
+ rapide, + pratique, + exclusif
Zéro publicité, fonctions avancées de lecture, articles résumés par l'I.A, contenus exclusifs et plus encore.
Découvrez les nombreux avantages de Numerama+.
Vous avez lu 0 articles sur Numerama ce mois-ci
Tout le monde n'a pas les moyens de payer pour l'information.
C'est pourquoi nous maintenons notre journalisme ouvert à tous.
Mais si vous le pouvez,
voici trois bonnes raisons de soutenir notre travail :
- 1 Numerama+ contribue à offrir une expérience gratuite à tous les lecteurs de Numerama.
- 2 Vous profiterez d'une lecture sans publicité, de nombreuses fonctions avancées de lecture et des contenus exclusifs.
- 3 Aider Numerama dans sa mission : comprendre le présent pour anticiper l'avenir.
Si vous croyez en un web gratuit et à une information de qualité accessible au plus grand nombre, rejoignez Numerama+.

Toute l'actu tech en un clin d'œil
Ajoutez Numerama à votre écran d'accueil et restez connectés au futur !
Marre des réseaux sociaux ? Rejoignez la communauté Numerama sur WhatsApp !