La reconversion professionnelle a le vent en poupe. Encore faut-il trouver la bonne voie et la formation adéquate. Les métiers du développement web figurent parmi les plus attractifs. Ce secteur aux multiples facettes ne connaît pas la crise et affiche un salaire moyen de 43 000 euros, selon l’APEC. D’autant que la motivation et l’expérience priment généralement sur le niveau d’étude.
Avec sa formation intensive de 6 mois en téléprésentiel, O’clock a la solution pour permettre aux plus motivés de réaliser rapidement leur rêve, même s’ils partent de zéro. La recette : combiner de solides connaissances techniques dans les langages les plus sollicités par les recruteurs à des mises en pratique régulières, et s’en remettre à des experts pour former les développeurs web de demain.
Bien plus qu’une initiation : une formation solide et professionnalisante
Six mois pour permettre à un néophyte en informatique de devenir développeur web et prétendre à un poste dès la fin de sa formation : voilà la promesse d’O’clock. Un pari qui semble ambitieux, voire irréaliste, mais que l’école 100 % numérique relève depuis 2017.
Marie, ancienne caissière aujourd’hui reconvertie en développeuse web en est un bel exemple : « Je pensais qu’il fallait être une geek pour être développeuse. Je me suis rendu compte que c’était vraiment des stéréotypes. »
Pour parvenir à une telle prouesse, l’établissement a élaboré un programme intensif et s’en remet à des experts pour dispenser les cours. Pendant un semestre, les étudiants apprennent tous les langages fondamentaux du développement web, comme le HTML, le CSS, le PHP, le JavaScript. Ils découvrent également l’environnement Unix, ainsi que les CMS les plus populaires, dont WordPress.
Au fil de cette formation, ces professionnels en devenir passent successivement de la théorie à la pratique et sont rapidement confrontés à la réalité du métier. C’est d’ailleurs l’un des principaux atouts d’O’clock. L’école œuvre sur 3 plans différents :
- le savoir, c’est-à-dire les connaissances techniques en matière de programmation et de développement ;
- le savoir-faire et donc la mise en pratique à travers des projets individuels, mais aussi de groupe ;
- le savoir-être, pour adopter les bonnes attitudes au quotidien, telles que la curiosité, la patience, la capacité d’analyse, l’esprit critique, l’humilité, ou encore l’empathie.
Concrètement, la première moitié de la formation en développement web est centrée sur l’apprentissage de chacun des langages prévus au programme. Une fois ces bases acquises, place à la spécialisation.
Durant un mois, les étudiants approfondissent leurs compétences soit en Symfony, un outil phare pour développer en PHP, soit en React, une bibliothèque JavaScript utilisée pour concevoir l’interface et l’apparence d’une application.
Le dernier mois est quant à lui consacré à l’élaboration d’un projet de A à Z, pour se frotter concrètement à la réalité du métier.
Enfin, place à l’examen de certification en vue d’obtenir le titre professionnel de niveau 5 (bac+2) agréé par l’État.
Le quotidien : des cours en téléprésentiel et un accompagnement personnalisé
Combiner téléprésentiel et une grande disponibilité du corps professoral : voilà l’autre force d’O’clock. L’école parvient ainsi à maintenir la motivation de chacun, en dépit du rythme de sa formation en développement web.
Étudier de chez soi est confortable, mais peut aussi faire peur aux plus grands procrastinateurs. Contrairement à la plupart des enseignements à distance, O’clock ne laisse pas ses étudiants livrés à eux-mêmes, à regarder des vidéos et à coder dans leur coin. Bien au contraire.
Même si chacun travaille de chez soi, la formation a finalement une teinte très collaborative, comme le précise Cyrielle, ancienne élève d’O’clock : « On avance, on tombe, on se relève et surtout, on s’entraide. On réussit parfois à faire des algorithmes compliqués, et là, c’est la rumba ! ».
Un avis partagé par Kévin : « Lors des premiers cours, les profs font attention à bien répondre à toutes les questions et à faire des sondages pour vérifier que tout le monde suit bien. On oublie vite qu’on est chez soi finalement. On est actif pendant le cours, c’est interactif ».
Chaque jour, les élèves sont invités à se connecter de 9h à 15h à la plateforme en ligne de l’école et, s’ils le souhaitent, d’allumer leur caméra. Au fil du cours, ils peuvent poser des questions en direct via le chat prévu à cet effet, comme ils le feraient à l’oral dans une vraie salle de classe.
De 15h à 17h, c’est le moment de pratiquer et de mener à bien tous les exercices demandés. L’établissement met d’ailleurs à disposition un bureau virtuel pour accéder via le cloud et sans lag à tous les outils nécessaires. Inutile donc d’être équipé d’une configuration PC onéreuse.
En cas de besoin, à la fin de la journée, les étudiants peuvent revisionner l’ensemble des cours en replay et même contacter les professeurs concernés. Un bonus appréciable, pour ne jamais fermer l’écran avec une série de questions et d’incompréhensions en suspens.
O’clock a aussi pensé aux personnes en situation de handicap avec une série d’outils d’accessibilité comme les sous-titres en temps réel.
Et après le diplôme ? O’clock reste à vos côtés
C’est bien d’avoir de solides connaissances, mais encore faut-il savoir les mettre en avant. Une fois la formation de développeur web achevée, O’clock recommande à ses étudiants de passer la certification pour obtenir le titre professionnel de développeur web de niveau 5 agréé par l’État.
Plus de 84 % des personnes ayant suivi ce cursus la réussissent. Toutes les formations n’y étant pas éligibles, c’est un avantage différenciant à mettre en avant sur son CV. Sur ce point, même après le diplôme, l’équipe pédagogique d’O’clock reste disponible pour apporter des conseils en matière de rédaction de CV, de création de pages LinkedIn et pour aider les anciens élèves à préparer leurs entretiens d’embauche. Tout est mis en œuvre pour que chacun puisse à la clé décrocher un contrat comme développeur web.
O’clock ne manque donc pas d’arguments. En plus, son cursus est éligible à de multiples aides financières comme le CPF, l’Agefiph, l’AIF, ou encore le CSP pour ne citer qu’elles.
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