Chaque semaine, Numerama publie une sélection d'articles concoctée par Lionel Maurel et Thomas Fourmeux présentant les dérapages les plus étonnants dans le domaine de la propriété intellectuelle. Bonne lecture !

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Commentaires
Copyright Madness (#50) : une semaine de propriété intellectuelle en délire !
Si la motivation de ce copyfraud est tout à fait légitime
Donc quand chez apple on veut imposer une certaine idée de la morale c’est pas bien mais si cette morale c’est la tienne ça devient de suite légitime ?
Certaines entreprises, et surtout certains services, devraient avoir une certaine neutralité, surtout quant ils sont dans une position dominante. Cependant un politicien a le droit d’avoir des motivations morales (c’est même l’essence de son boulot). Un journaliste aussi d’ailleurs, et on est libre de le partager, ou pas.
Par contre s’insurger contre le soit-disant «mauvais goût» de cette pub… on peut s’insurger contre la production et la commercialisation de ces armes, mais uniquement contre la publicité me paraît douteux. Surtout que si on accepte ou tolère le premier point, la publicité n’a rien de mauvais goût.
Poser sur les Maillol des Tuileries peut coûter très cher (même si l’on est…
Un shooting de mode organisé au Jardin des Tuileries par le magazine « Purple Fashion » avec le photographe Terry Richardson s’est soldé par une lourde condamnation.
Dell a raison dans cette histoire, raison pour laquelle je n’achèterais plus chez Dell.Si tu vas à la boutique du DOS pour demander le service de t’installer un truc que tu as déjà acheté, et qu’il te le fait payer, c’est normal.Ce qui n’est pas normal dans l’histoire, c’est que Dell t’installe plein de merdes d’office et que là, c’est gratos.
La différence est dans le payeur. Quand Dell ou un autre installe “gratuitement” un anti virus, il est en fait payé par l’éditeur qui espère ainsi faire payer une licence. Du coup l’argument à moins de poids.
La licence MPL de mozilla est une licence libre (http://www.gnu.org/licenses/license-list.html#MPL-2.0). Et la base du logiciel libre, est d’être libre. Libre de faire payer le service, de vendre, de copier, d’améliorer, etc. De plus, vendre du service est un des fonctionnement de base et une des raison du succès du libre.
De plus, les abus sont automatiquement limités, difficile de vendre un logiciel libre 1000 euros sans valeur ajoutée alors que n’importe qui peut le distribuer gratuitement.
Même si je ne suis pas à l’aise avec la politique de Dell sur ce sujet (et au sujet du prix éxagéré alors que d’autre sont gratuits), on est en droit de critiquer cette politique, de la dénoncer, mais l’attaquer en justice?
Je comprend la raison qui pousse certaines entreprises à publier en libre mais à garder le nom et le logo en privatif. Toutefois abuser de ce droit discrédite et nuit à la politique du libre.
Je vote aussi pour considerer cela comme un Copyright Madness.
Je n’approuve guere la pratique de Dell ici (payer 20E pour simplement installer un logiciel libre, et encore s’ils n’ont pas une image prete avec FF pre-installe), mais vendre du service (fut-il une simple installation) autour du logiciel libre est la base du modele du logiciel libre.
Vouloir commencer a reguler les pratiques autour de Firefox, cela revient a rentrer dans le meme modele type « control freak » que les solutions proprietaires. A moins d’un reel abus technique (genre pre-installer Firefox en ajoutant des backdoors pour la NSA), je ne vois pas l’interet de rentrer dans ce jeu, a part pour donner raison aux editeurs de solutions proprietaires.
On malmène beaucoup le français dans ces articles.
Exemples : « Cela faisait quelques temps que nous n’avions pas eu le droit à, etc. ». On écrit « quelque temps », au singulier (il n’y a pas plusieurs temps !), et on dit « avoir droit », en pareil cas. Pas « avoir LE droit ».
Mais on malmène aussi l’anglais : « guitar heros » ? En anglais, on écrit hero, sans s !
Sur le fond, faire un film sur un musicien sans utiliser sa musique, on en a vu l’équivalent, à propos d’un peintre, avec un film sur Basquiat, toujours pour des questions de droits.
« Levi’s ou le BHV se sont servis de David pour leur publicité ». Mais non, ils se sont servi, sans s . Le mot servi ne qualifie en rien Levi’s ou le BHV, donc l’accord au pluriel est saugrenu.