On ignore pour l’instant de qui il s’agit, mais l’on sait d’ores-et-déjà que ça ne devrait pas être Private Media Group, le géant de la pornographie espagnol, qui ne présentait pas les garanties suffisantes.
Les avocats attendent lundi pour savoir si oui ou non le Chapitre 7 du code des faillites américain pourra s’appliquer, auquel cas Napster devrait être sauvé.
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