L’association Technopol, connue principalement pour l’organisation de la Technoparade, s’est opposée avec vigueur à l’accord tarifaire signé entre la SCPP qui défend les intérêts des plus grosses maisons de disques et l’association France Webradios, qui représente 14 webradios françaises. « Cet accord aborde uniquement l’aspect économique sans intégrer l’aspect culturel », dénonce l’association dans un communiqué. Selon Technopol, l’accord pourrait « mettre en péril de très nombreux éditeurs de webradios dont la majeure partie encouragent la promotion et la diffusion des talents n’ayant pas toujours voir jamais d’accès aux playlists des médias traditionnels ».

L’association Technopol et son groupe de travail média Fréquence Electro souhaite faire émerger un nouvel accord « plus cohérent » dont une base essentielle serait la création d’un interlocuteur unique, inspiré de la SPRE pour les radios hertziennes. Actuellement, les webradios doivent négocier tour à tour avec chacune des organisations de collecte des droits.

Contactée par Ratiatum, France Webradios n’a pas réagi à ces critiques.

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