La réalité virtuelle a trouvé son meilleur représentant du côté de chez Sony. En octobre dernier, le géant japonais a lancé le PlayStation VR, exclusif à la PlayStation 4, avec un objectif en tête : sensibiliser le public à cette nouvelle technologie.
La puissance de la marque et l’ergonomie du produit, simple à configurer car fermé, ont jusqu’ici offert de bons résultats à Sony, qui a vendu 915 000 PlayStation VR depuis la sortie de l’appareil — selon les chiffres arrêtés au 19 février. L’Oculus Rift et le HTC Vive, disponibles depuis plus longtemps, ne peuvent pas en dire autant.
Le million d’ici avril ?
C’est dans une interview accordée au New York Times qu’Andrew House, CEO de Sony Interactive Entertainment, a révélé ce chiffre auquel il ne croyait pas lui-même. Un peu sceptique sur l’engouement potentiel autour de cette nouvelle technologie, il avait d’ailleurs demandé une production minimum « au cas où » : « C’est un cas classique au sein de toute entreprise — ceux qui s’occupent des ventes sont très excités, et hypés. Mais il faut tempérer ça avec d’autres voix dans l’entreprise, la mienne y compris, pour se montrer plus prudents ».
Voilà pourquoi certains ont rencontré des difficultés à trouver un PlayStation VR dans leur magasin durant les premiers mois de vente. À ce sujet, Andrew House a promis que les stocks seront bientôt renfloués : Sony vise le million d’unités écoulées d’ici mi-avril. A priori, le palier ne sera pas trop difficile à atteindre.
Pendant ce temps-là, certaines enseignes ferment les bornes de démonstration de l’Oculus Rift, distribué à 355 000 exemplaires selon les informations de SuperData (à fin 2016). Avec 420 000 casques dans la nature, le HTC Vive fait mieux. Mais toujours moins bien que le PlayStation VR, dernier lancé sur ce nouveau créneau.
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