Parmi les justifications les plus communes au piratage d’oeuvres musicales sur Internet, le prix prohibitif des albums est sans doute en première place. Il n’est pas rare en effet de voir le prix d’un CD dépasser les 20 euros, une somme de moins en moins en phase avec la valeur attribuée par le consommateur à une dizaine de titres.

Est-il justifié pour l’industrie du disque de vendre ces produits à de tels prix ? Les majors ont-elles raisons de compter sur la baisse de la TVA pour renforcer leurs bénéfices ? C’est ce que nous avons souhaité vérifier en étudiant la répartition complète de l’argent donné par le consommateur au revendeur.

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Prix des CD : où va votre argent ?

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