Google a rouvert temporairement les inscriptions pour Google+. La plate-forme sociale est toujours en phase de test et la firme de Mountain View souhaite doubler le nombre d’utilisateurs afin de monter progressivement en puissance.

Les internautes qui n’ont pas pu s’inscrire sur Google+ lors de la première vague d’invitations il y a une semaine vont devoir être réactifs pour ne pas manquer la suivante. Le directeur en charge de l’ingénierie de Google+, Dave Besbris, a en effet indiqué dans un message publié il y a quelques heures sur le réseau social que les inscriptions sur la plate-forme étaient à nouveau ouvertes… pendant un temps.

À cette occasion, Dave Besbris est revenu sur les raisons qui ont poussé Google, il y a quelques jours, à mettre un coup de frein aux invitations. « Tout d’abord, nous voulons nous assurer que notre infrastructure demeure véloce et fiable. Ensuite nous tenons à nous assurer que les bugs sont corrigés alors qu’il n’y a encore qu’un nombre relativement restreint d’utilisateurs« . Sans doute pour limiter d’éventuels soucis.

Pas question pour Google d’ouvrir en grand les vannes des invitations au risque d’affecter la qualité de sa toute récente plate-forme sociale. Google+ finira de toute façon par être accessible à tous, mais d’ici là la firme de Mountain View veut s’assurer que la montée en charge est correctement supportée. La plate-forme ne tient pas à faire fuir les nouveaux inscrits avec un service qui ne serait pas à la hauteur.

L’objectif de cette nouvelle vague d’invitations est de doubler le nombre d’inscrits sur le réseau social. Dave Besbris ne précise pas combien d’internautes ont ouvert un profil ni combien sont réellement actifs. Tout juste a-t-on su au début du mois que la demande pour obtenir une invitation était « insensée« . Le directeur précise par ailleurs que cette vague d’invitations est temporaire et que des restrictions sont toujours en cours.

Les invitations massives ne marcheront pas, prévient-il.


Si vous avez aimé cet article, vous aimerez les suivants : ne les manquez pas en vous abonnant à Numerama sur Google News.