Trois candidats se sont manifestés pour l’appel à candidatures destiné à gérer les domaines de premier niveau français. Il s’agit de l’AFNIC, du FrNIC et de l’Office d’enregistrement des extensions Internet françaises.

Le 20 mars dernier, le gouvernement a publié au Journal officiel un appel à candidatures destiné à attribuer les fonctions de bureau d’enregistrement des noms de domaine de premier niveau désignant les différents territoires français. En plus de la classique extension « .fr », il s’agit de gérer dix autres domaines dédiés aux départements et collectivités d’outre-mer.

L’appel à candidatures s’est terminé ce vendredi et trois candidats se sont faits connaître publiquement. Il s’agit de l’Association française pour le nommage Internet en coopération (AFNIC), de la Fondation d’entreprise Free en association avec la start-up Starting Dot (FrNIC) et de l’Office d’enregistrement des extensions Internet françaises (filiale du prestataire luxembourgeois OpenRegistry).

Créée en 1998 par l’INRIA, l’AFNIC a eu jusqu’à présent la charge de gérer les domaines .fr (France), .re (Réunion), .pm (Saint-Pierre-et-Miquelon), .tf (Terres australes et antarctiques françaises), .wf (Wallis-et-Futuna) et .yt (Mayotte). Les extensions restantes (Martinique, Guyane, Saint-Martin, Guadeloupe, Saint-Barthélémy) sont administrées par d’autres organismes.

Interrogée par l’AFP, la direction en charge du dossier au ministère de l’économie et des finances n’a pas souhaité indiquer s’il y avait d’autres candidats en dehors des trois déclarés publiquement. Les offices d’enregistrement seront attribués pour une durée de cinq ans et pourront être renouvelées.

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