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Test du MacBook Pro (M2 Pro) : émuler un jeu Windows pendant une exportation 8K, c'est possible

La puce M2 Pro démontre une nouvelle fois l'excellence d'Apple sur le secteur des microprocesseurs. Numerama a passé quelques jours avec un MacBook Pro de 14 pouces (2023), qui réalise un quasi-sans faute pour un ordinateur portable. 

Apple a un problème. Depuis l'arrivée de la première puce Apple Silicon en 2020 (l'Apple M1), les ordinateurs de la marque californienne sont devenus si puissants qu'il est difficile d'être enthousiastes lorsqu'un nouveau Mac est annoncé. Les caractéristiques des puces M2 Pro et M2 Max de 2023, aussi alléchantes soient-elles, sont démesurées pour la grande majorité des utilisateurs, pour qui la puce M2 du MacBook Air est largement suffisante. À qui s'adresse donc la M2 Pro ? Sans doute aux utilisateurs aux exigences très élevées, comme les monteurs vidéo, les spécialistes de l'animation, les architectes ou les développeurs… Mais bon, qui connaît Apple sait que la marque arrivera facilement à vendre des ordinateurs équipés de sa nouvelle puce au grand public.

La configuration testée par Numerama

Pour les besoins de ce test, Apple a prêté à Numerama un MacBook Pro avec un écran de 14,2 poucesIl dispose de la puce M2 Pro dans sa configuration maximale (12 cœurs CPU + 19 cœurs GPU) et embarque 32 Go de RAM (une option à 460 euros). Ce Mac est aussi équipé d'un SSD de 2 To. 

Le prix de la machine est de 3 919 euros, ce qui n'en fait pas forcément une configuration que l'on recommanderait. Au vu de la puissance de la puce M2 Pro, le modèle le moins cher (2 399 euros) est suffisant. Sinon, autant opter pour la version M2 Max à 4 159 euros. 

Même si la puce M2 Pro est trop puissante pour la plupart des usages, nul doute que les appareils qui en sont équipés susciteront assez d'envie pour que la M2 Pro se retrouve dans des milliers de foyers. Pour cause, le MacBook Pro 14 pouces, que Numerama avait testé en version M1 Pro en 2022, est un des meilleurs choix sur le marché des ordinateurs portables, si ce n'est le meilleur. Voici maintenant le test de la version 2023, aux nouveautés très limitées. Autant dire dès maintenant que l'appareil n'est pas recommandé aux utilisateurs de la version précédente, mais que les autres ont toutes les raisons du monde de vouloir succomber, même s'ils n'ont pas besoin de sa puissance. 

Un MacBook Pro qui ne change pas vraiment

Le MacBook Pro de 2023 ressemble au MacBook Pro de 2021, mais ce n'est pas une surprise. Historiquement, Apple n'a jamais été une marque qui renouvelle le design de ses appareils tous les ans. Un cycle dure approximativement 5 années, ce qui peut laisser supposer que les deux ou trois prochains MacBook Pro haut de gamme n'évolueront pas. Le fait que le nouveau MacBook Pro ressemble à l'ancien n'est pas du tout un problème, d'autant plus que le dernier modèle était plutôt sublime.

Le MacBook Pro de 2023 reprend le design de son prédécesseur, avec un clavier complètement noir et un écran à encoche. // Source : Thomas Ancelle / Numerama

La génération 2023 des MacBook Pro reprend tout ce qui a fait le succès du modèle précédent. On retrouve notamment son splendide écran mini-LED de 14,2 pouces, qui avait permis aux MacBook Pro d'enfin devenir de bons appareils pour regarder des films ou des séries (le mini-LED permet de faire varier la luminosité d'un endroit à l'autre de l'écran, ce qui améliore drastiquement le taux de contraste par rapport aux dalles LCD classiques). Les nouveaux MacBook Pro disposent aussi d'un taux de rafraîchissement adaptatif, avec un pic à 120 Hz (c'est la technologie ProMotion). Ce sont, de loin, les Mac avec les meilleurs écrans. Cette caractéristique suffit à les rendre recommandables à tous les utilisateurs, comme Numerama l'écrivait l'an passé.

L'arrière de l'écran du MacBook Pro est plat. Il dispose aussi de plein de ports, alors que les Mac d'avant 2021 se contentaient d'USB-C. // Source : Thomas Ancelle / Numerama

Le reste des points forts de la génération précédente est aussi au rendez-vous :

On apprécie aussi le design du MacBook Pro, vraiment conçu pour appartenir au haut de gamme. Dommage qu'il soit un peu trop épais et lourd pour certains sacs à dos (1,55 cm d'épaisseur pour 1,60 kg), il aurait été autrement parfait. 

Apple a le sens du détail. La gravure MacBook Pro sous le capot de l'ordinateur est magnifique. // Source : Thomas Ancelle / Numerama

Puisqu'il y a peu de changements, le MacBook Pro de 2023 conserve aussi les défauts de son prédécesseur (comme sa vilaine encoche ou sa webcam un peu moyenne). Nous y reviendrons à la fin de ce test. 

Point faible de l'Apple M2 Pro : trop forte

La vraie nouveauté de ce MacBook Pro 2023 se cache sous son capot. Comme à l'époque des Mac Intel, Apple voit en cette génération la possibilité de mettre à niveau la puce de son ordinateur. Oubliez la M1 Pro des deux dernières années, place désormais à la M2 Pro basée sur une architecture plus récente, vraisemblablement calquée sur l'A15 des iPhone 13 et 14 (contre l'A14 auparavant). 

Apple en profite aussi pour augmenter le nombre de cœurs (12 CPU au lieu de 10 + 19 GPU au lieu de 16 + 16 NPU), ce qui devrait logiquement permettre à l'appareil de délivrer plus dans toutes les configurations. Pour le vérifier, Numerama a effectué quelques tests de benchmarks (des logiciels qui mettent la puissance des ordinateurs à l'épreuve dans un objectif comparatif) :

Les benchmarks


Cinebench (multi-core)Cinebench (single-core) Geekbench 5 (multi-core)Geekbench 5 (single-core)
M1 (MacBook Pro)7 755 points1 4987 7191 749
M1 Pro (MacBook Pro)12 3211 52611 4841 758
M1 Max (Mac Studio)12 3631 53712 3361 756
M1 Ultra (Mac Studio)24 0531 51722 5411 781
M2 (MacBook Air)7 8851 5818 8361 887
M2 Pro (MacBook Bro)14 6621 64115 0721 958
CPU : nos tests des puces Apple Silicon. Plus le score est élevé, mieux c'est.

Les résultats des tests de Numerama confirment les dires d'Apple, qui promet 20 à 30 % de gain par rapport à la génération précédente. Sans surprise, avec un seul cœur, la puce M2 Pro est la plus puissante de toutes (c'est normal, c'est la dernière née). En multicœurs (tous les cœurs ensemble, pour les tâches énergivores), elle fait logiquement moins bien que la puce M1 Ultra du Mac Studio, mais c'est juste mathématique. Le MacBook Pro a 12 cœurs, le Mac Studio en a 20. On constate d’ailleurs que la puce M2 Pro surpasse la M1 Max de l'année dernière, qui était pourtant positionnée un cran au-dessus (mais limitée à 10 cœurs). 


GFX Bench - Chase offscreen 1080GFX Bench - Aztec offscreen 1440GFX Bench - Manhattan offscreen 1440Geekbench 5 (Metal)
M1 (MacBook Pro)10 460,5 fps5 165,758 222,9521 691
M1 Pro (MacBook Pro)20 682,210 55517 021,741 593
M1 Max (Mac Studio)26 695,319 862,130 77658 928
M1 Ultra (Mac Studio)23 83431 13649 492105 554
M2 (MacBook Air)13 6027 09610 22730 385
M2 Pro (MacBook Pro)25 63813 49821 72452 691
CPU : nos tests des puces Apple Silicon. Plus le score est élevé, mieux c'est.

Et la partie graphique ? Cette fois-ci, la M2 Pro n'est pas reine. C'est logique, ses 19 cœurs GPU, certes de dernière génération, n'ont pas la capacité de rivaliser avec les 32 cœurs de la puce M1 Max ou les 64 cœurs de la puce M1 Ultra. 

Toutefois, par rapport à la M1 Pro, l'amélioration est notable (+ 22% selon Geekbench). Le MacBook Pro 2023 fait mieux à chaque fois et, surtout, n'a jamais tremblé pendant nos tests. Ses ventilateurs restent muets et tout semble se réaliser sans problème. Une nouvelle preuve de l'incroyable domination des laboratoires Apple Silicon, qui n'ont aucun équivalent à ce jour dans l'univers des PC. Reste à savoir qui profitera vraiment de cette puissance supplémentaire.

Le MacBook Pro de 2023 est le premier avec un port HDMI 2.1. // Source : Thomas Ancelle / Numerama

Y a-t-il des limites à la puissance de la puce M2 Pro ? Au quotidien, tout fonctionne parfaitement. L'ordinateur s'allume vite, la sortie de veille est instantanée, le lancement de 20 applications simultanément ne lui pose pas de problème, la batterie est démentielle (il y a largement de quoi tenir une grosse journée sans le recharger)… Mais bon, depuis la première puce M1, Apple nous a habitués à cette excellence.

Pour les besoins d'un journaliste, la puce M2 Pro est largement surévaluée (au quotidien, le MacBook Air est habituellement la machine de l'auteur de ce test). Pour un monteur vidéo par contre, particulièrement s'il travaille sur des projets 4K ou plus, passer de la M2 à la M2 Pro a du sens. Nous avons effectué plusieurs exportations de projets Final Cut Pro en 4K ou 8K avec le MacBook Pro, qui réalise le tout très rapidement dans le silence total (les 32 Go de RAM jouent aussi en sa faveur, les 16 Go du modèle que nous avions testé en 2022 lui posaient parfois problème). À titre indicatif, un projet de 5 minutes 11 avec 18 flux 8K superposés les uns sur les autres (le fichier final fait 147,16 Go) a pu être créé en environ 3 minutes. Impressionnant. Bien sûr, il existe de multiples autres usages bien plus exigeants, mais ils concernent seulement des professions spécifiques. 

Émuler un jeu Intel dans une virtualisation Windows, c'est possible

Un peu pervers, Numerama a voulu arriver au bout de la machine en lui faisant réaliser des tâches normalement impossibles. Avant la puce M1, les Mac pouvaient faire tourner nativement Windows (grâce à Boot Camp). Depuis, ce n'est plus possible. Puisque l'architecture des Mac est ARM et que celle de la majorité des applications Windows est Intel, ces deux environnements sont devenus incompatibles. Il y a toujours la possibilité d'installer une version ARM de Windows si on le souhaite, mais Apple a retiré Boot Camp de ses ordinateurs. Au moment de la sortie des premières puces M1, il n'y avait quasiment aucune solution viable pour faire tourner Windows. 

Windows 11 sur un MacBook Pro M2 Pro, c'est possible 🥝. // Source : Thomas Ancelle / Numerama

À l'aide du logiciel Parallels Desktop, qui permet de virtualiser un système d'exploitation dans une fenêtre, nous avons installé Windows 11 ARM sur le MacBook Pro M2 Pro. Première surprise, l'installation a été extrêmement rapide (moins de 5 minutes, c'est d'habitude plus lent sur les vrais PC). Ensuite, l'expérience de navigation est si fluide que l'on pourrait croire que le MacBook Pro a été conçu pour Windows. Les logiciels de bureautique fonctionnent tous parfaitement, c'en est presque étonnant. Pour aller plus loin, nous avons eu l'idée d'installer plusieurs jeux vidéo. 

Sans surprise, tout ne fonctionne pas. La faute à des systèmes anti-triche (comme dans Fall Guys, qui pense que l'émulation Intel vers ARM est un logiciel parasite). En revanche, et c'est ce qui nous a surpris, le MacBook Pro M2 Pro est suffisamment puissant pour émuler virtuellement des jeux Windows dans une qualité démentielle (3600 par 2252 pixels, en 120 Hz, pour Rocket League qui ne bloque pas l'architecture ARM). Le tout est d'autant plus délirant que Parallels Desktop n'a pas accès à tous les cœurs du M2 Pro, puisqu'il en laisse à macOS. Pourtant, l'expérience de jeu semble native. Il s'agit en réalité d'une émulation dans une virtualisation. Encore mieux, il est même possible de jouer nativement en 5K sur un Apple Studio Display. 

Rocket League sur un écran 5K, pendant que l'on utilise l'écran du MacBook Pro pour un montage Final Cut, c'est possible. // Source : Thomas Ancelle / Numerama

Seule limite, lorsque l'on joue à pleine puissance dans une émulation virtualisée, on entend pour la première fois les ventilateurs du Mac. Pour aller encore plus loin, nous avons tenté une exportation 8K pendant une partie… Ce qui n'a pas posé problème au Mac. A-t-on besoin de vous en dire plus sur la puissance de la M2 Pro, sans doute largement au-dessus de vos besoins ? 

Les applis Intel conçues pour les Mac sont parfaitement émulées par macOS. En revanche, Windows n'offre pas le même niveau d'émulation. // Source : Capture Numerama

Le Wi-Fi 6E, un début étrangement décevant

En toute transparence, Numerama avait initialement envisagé de tourner son test du MacBook Pro M2 Pro vers le Wi-Fi 6E, grosse nouveauté de cette génération 2023. Pour la première fois de son histoire, Apple a doté un de ses ordinateurs d'un modem capable d'exploiter la bande des 6 GHz, qui porte moins, mais qui permet d'atteindre des débits bien plus élevés que les 5 GHz ou 2,4 GHz habituels. Naïvement, nous nous étions dits que le Wi-Fi 6E pourrait tout changer pour les professionnels qui doivent transférer des centaines de gigaoctets d'un seul coup, en réduisant leur temps de travail par deux. Nos tests nous ont conduits à revoir notre plan, puisque le Wi-Fi 6E du MacBook Pro est encore perfectible.

On ne peut pas forcer le Wi-Fi 6E, mais on peut le désactiver si on le souhaite. Appuyer sur le logo Wi-Fi en maintenant la touche option enfoncée permet de savoir à quoi on est connecté. // Source : Captures Numerama

Pour mesurer l'apport du Wi-Fi 6E, Numerama a imaginé un protocole de test. Il y a d'abord une partie théorique, avec des tests de débit en face de la box, puis derrière un mur. La bonne nouvelle est que, dans une configuration idéale, le Wi-Fi 6E apporte un vrai gain. Le MacBook Pro M2 Pro atteint des débits dignes de l'Ethernet lorsqu'il est dans la même salle que son routeur (un Google Nest Wifi Pro ici). En revanche, dès qu'il s'éloigne un peu, l'écart est plus limité. Dans certains cas, le MacBook Air en 5 GHz a même fait mieux. 


Speedtest.net - salonFast.com salon Speedtest.net - chambre (derrière un mur)Fast.com chambre (derrière un mur)
MacBook Pro (6 Ghz)938,70 Mbps • 626,18 Mbps • 7 ms960 Mbps • 540 Mbps416.87 Mbps • 187.66 Mbps • 15 ms360 Mbps • 220 Mbps
MacBook Air (5 Ghz)609,67 Mbps • 229,47 Mbps • 7 ms660 Mbps • 190 Mbps386.41 Mbps • 165.27 Mbps • 7 ms500 Mbps • 140 Mbps

Pire, dans la vraie vie (en téléchargeant ou en téléversant de vrais fichiers), Numerama a constaté que l'antenne 6 GHz du MacBook Pro était très capricieuse. Plus le fichier est volumineux, plus il y a de chance que le 5 GHz soit le plus rapide au final, puisque le 6 GHz subit plusieurs pertes de connexion qui diminuent provisoirement son débit (y compris lorsqu'on se trouve dans la même salle). 

D'ailleurs, on a souvent vu le MacBook Pro passer automatiquement du 6 GHz au 5 GHz, alors qu'il était à moins de 2 mètres de la box. La preuve que cette connexion n'est pas encore parfaite. Ce qui est étonnant est que le dernier iPad Pro, lui aussi Wi-Fi 6E, semble moins capricieux. Est-ce une question de disposition des antennes ou d'optimisation logicielle ? La seconde hypothèse serait la meilleure, puisqu'elle permettrait au MacBook Pro de s'améliorer avec une mise à jour. 


Téléchargement d’un fichier de 1 Go sur Google DriveTéléchargement d’un fichier de 6,7 Go (mise à jour d’iOS)Envoi sur les serveurs Google Drive d’un fichier de 6,7 Go
MacBook Pro (6 Ghz)11 secondes 2 minutes 7 secondes6 minutes 42 seconde 
MacBook Air (5 Ghz)18 secondes 1 minute 32 secondes3 minutes 42

Une autre partie de notre protocole de test du Wi-Fi 6E impliquait l'utilisation du cloud gaming, avec le service français ShadowTout a très bien fonctionné, mais il est rare que le Mac soit resté sur le 6 GHz pendant toute la session. Difficile, donc, d'en conclure quoi que ce soit. 

Quid des usages directs ? AirDrop ou le partage de connexion, par exemple ? Apple a indiqué à Numerama que l'envoi de fichiers AirDrop en 6 GHz était possible, mais seulement dans les pays où cette pratique est autorisée. Selon nos tests, le système n'est pas actif en France pour l'instant (il le sera peut-être dans une future mise à jour). En ce qui concerne le partage de connexion, il faudra attendre un iPhone compatible Wi-Fi 6E pour vraiment en profiter. Aujourd'hui, seuls quelques appareils Android, comme les Samsung, supportent le partage de connexion en 6 GHz. 


Envoi d'une vidéo 4K de 5 minutes (868 Mo) en AirDropEnvoi d'un film de 11 Go en AirDrop
Du MacBook Pro à l’iPad Pro (6 Ghz supposé)11,37 secondes2 minute 39
Du MacBook Pro au MacBook Air (5 Ghz seulement)10,25 secondes2 minutes 01

La loi de l'encoche : les quelques défauts

Ordinateur portable quasiment parfait, le MacBook Pro M2 Pro a tout de même des défauts. À vrai dire, Numerama en a identifié quatre, dont deux étroitement liés :

Ça ne se voit pas forcément très bien sur cette image, mais le MacBook Pro est bien plus épais que le MacBook Air. Quand on le transporte, la différence de poids se sent. // Source : Thomas Ancelle / Numerama
L'encoche du MacBook Pro est particulièrement visible. Ce qui est dommage est que la caméra frontale en profite peu. // Source : Thomas Ancelle / Numerama

Bien sûr, aucun de ces défauts n'est éliminatoire. Ils empêchent au MacBook Pro d'obtenir la note maximale, mais ils n'enlèvent rien à l'incroyable qualité de l'ordinateur.