BlackBerry commence à donner des détails sur son nouveau smartphone, le Priv. Mais au lieu de donner toutes les informations d’un seul coup, le fabricant canadien préfère les livrer progressivement.

Des détails donnés au compte-gouttes. Voilà donc la tactique qu’a visiblement choisie de suivre BlackBerry pour parler du Priv, son tout premier smartphone équipé du système d’exploitation Android. En effet, au lieu de livrer en une seule fois toutes les caractéristiques du nouveau terminal, le constructeur canadien préfère tenir en haleine son public. Ainsi, seules quelques informations techniques sont pour l’instant livrées.

On sait maintenant que le BlackBerry Priv sera équipé d’un écran d’une diagonale de 5,4 pouces. Celui-ci sera incurvé de chaque côté, à la manière du Galaxy Note Edge. Sa batterie bénéficiera d’une capacité de 3410 mAh. Le fabricant ajoute que le capteur optique sera fournit par le groupe allemand Schneider Kreuznach et qu’un soin tout particulier a été apporté à la qualité sonore de l’appareil (qualifiée d’« extraordinaire »).

BlackBerry n’en dit pas davantage. Il faudra attendre les prochaines indications de la firme canadienne pour mieux cerner ce qu’il y a dans les entrailles de ce téléphone, ou prêter l’oreille aux diverses rumeurs qui circulent à son sujet, mais dont la fiabilité est sujette à caution. Tout ce que l’on peut ajouter, c’est que le BlackBerry Priv dispose d’un écran tactile ainsi que d’un clavier physique accessible en faisant glisser la façade avant.

Le BlackBerry Priv représente un enjeu absolument majeur pour l’entreprise, car un échec commercial sonnerait sans doute son glas sur le marché des smartphones. C’est en tout cas ce qu’a laissé entendre John Chen lors d’une conférence survenue au début du mois d’octobre : en somme, tout dépendra du volume de ventes qu’atteindra la société en 2016.
« L’année prochaine, nous devrons faire en sorte que notre activité dans le mobile devienne rentable, sinon il va falloir que je repense sérieusement à ce que nous faisons là. […] Mon travail est de m’assurer que la valeur de l’entreprise est protégée et augmente », déclarait-il alors.

Source : Numerama

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