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4 films pour danser jusqu’au bout de la nuit sur Netflix

Alors que les soirées d’été commencent doucement à raccourcir, il est encore temps d’en profiter pour s’amuser jusqu’à l’aube. Mais si les pistes de danse ne sont pas votre tasse de thé, Netflix vous propose 4 films pour bouger en rythme depuis votre canapé : Dirty Dancing, Last Night in Soho, Les Demoiselles de Rochefort et Homecoming.

Pour beaucoup, les vacances d’été riment généralement avec soirées à chanter et danser jusqu’à l’aube. Mais si vous êtes plutôt team pop corn ou pot de glace à déguster devant la télé, les plateformes de SVOD fourmillent évidemment de contenus musicaux pour vous faire (presque) valser jusqu’au bout de la nuit.

Homecoming - Beyoncé // Source : Netflix

Alors pour avoir le rythme dans la peau sur Netflix, vous avez le choix entre la chorégraphie la plus culte du septième art avec Dirty Dancing, les nuits londoniennes un brin sanglantes de Last Night in Soho, les célèbres passions amoureuses de sœurs jumelles dans Les Demoiselles de Rochefort ou le concert mythique de Beyoncé, la reine de la pop, avec Homecoming.

Dirty Dancing sur Netflix, l’incontournable du dance-floor

Que serait une sélection de ce genre sans la masterclass absolue, qui revient à longueur d'année sur toutes les chaînes de télévision ? Si vous n’avez jamais vu Dirty Dancing, c’est donc le moment de rattraper votre erreur. Sorti en 1987, le film raconte l’histoire de Bébé, une jeune femme qui passe des vacances familiales bien monotones, avant de rencontrer Johnny Castel, un prof de danse qui va l’aider à s’émanciper. Si l’on met de côté le surnom de « Bébé », que personne n’a jamais vraiment compris, on se retrouve tout de même face à un film resté culte pour toute une génération.

https://www.youtube.com/watch?v=0rzsa_KEoKs

Malgré des disputes fréquentes sur le tournage, Patrick Swayze et Jennifer Grey possèdent étonnamment une alchimie frappante à l’écran, notamment lors du fameux porté de fin, sur la chanson oscarisée The Time of my LifeAlors oui, c’est kitsch, c’est niais, et certains aspects du film ont globalement mal vieilli. Mais il faut avouer que l’on apprécie toujours autant de retrouver l’atmosphère chaleureuse, fun et surtout sexy de Dirty Dancing. Et après tout, l’été est vraiment la période idéale pour (re)découvrir ce monument musical du septième art et cette histoire d’amour improbable sous le feu des projecteurs.

Last Night in Soho sur Netflix, quand la danse devient sanglante

Si les histoires d’amour au clair de lune entre deux pas de danse vous exaspèrent, l’ambiance glaçante de Last Night in Soho devrait vous séduire davantage. Vous allez alors suivre Eloise Turner, jeune étudiante passionnée de mode. Alors qu’elle vient d’emménager dans le quartier de Soho, à Londres, pour poursuivre son rêve, elle commence à expérimenter des visions nocturnes. Chaque nuit, elle suit ainsi le parcours de Sandie, une ambitieuse chanteuse de cabaret des années 1960. Mais ces excursions dans le passé, en apparence si joyeuses et attrayantes, se révèlent rapidement plus sombres que prévu…

https://www.youtube.com/watch?v=UTklLZF0d9s

Entre Scott Pilgrim, Shaun of the Dead, Hot Fuzz ou Baby Driver, le réalisateur Edgar Wright a toujours brillé par sa capacité à proposer des films inclassables, bourrés de référence à la culture pop. Last Night in Soho, son dernier délire en date, n’a pas fait exception à la règle, à la différence près que le cinéaste s’est enfin décidé à mettre des personnages féminins au premier plan. Anya Taylor-Joy (Le Jeu de la Dame) et Thomasin McKensie (Jojo Rabbit) composent ainsi un duo aussi effrayant que complémentaire, dans ce voyage dans le passé qui prend rapidement des allures de slasher. Quant à la mise en scène très élégante des années 1960, qui s’appuie sur de somptueux jeux de miroirs, elle est absolument époustouflante de maîtrise. Alors laissez-vous embarquer dans le ballet un brin terrifiant de Last Night in Soho, vous ne le regretterez vraiment pas.

Les Demoiselles de Rochefort sur Netflix, la comédie musicale fleur bleue à l’ancienne

« Nous sommes deux sœurs jumelles, nées sous le signe des Gémeaux, mi, fa, sol, la, mi, ré, ré, mi, fa, sol, sol, sol, ré, do… »Bien avant que Catherine Deneuve ne vire réac, elle était surtout l’icône d’un réalisateur clé du cinéma français : Jacques Demy. Avec Les Demoiselles de Rochefort, l’une de ses plus grands créations, le cinéaste a enchanté les années 1960 de son tourbillon de couleurs vives. On y suit les insouciantes Delphine et Solange, deux jumelles en quête d’amour, alors que des marins viennent de débarquer en ville.

https://www.youtube.com/watch?v=poBN4_0UieA

Il est globalement impossible de faire plus gnan-gnan que Les Demoiselles de Rochefort, mais il est aussi vraiment inconcevable de passer à côté de ce chef d’œuvre. Des chorégraphies au casting en passant par les costumes, les musiques ou les décors, tout respire la joie et la bonne humeur dans cette comédie romantique au bon goût d’été. Une petite sucrerie incontournable, à déguster en association avec votre meilleur pot de crème glacé : retour en enfance garanti, dans un nuage de positivité qu’il est difficile de quitter.

Homecoming sur Netflix, le concert-documentaire ultime de Queen B

La supériorité de Beyoncé n’est plus à prouver : depuis ses débuts avec les Destiny’s Child jusqu’à son dernier album, Renaissance, sorti en 2022 et suivi d’une tournée gigantesque, la reine de la pop nous montre un peu plus l’étendue de son talent à chaque nouveau projet. Et en 2019, Queen B a secoué Netflix avec le documentaire Homecoming. Mêlé aux images de ses concerts au festival américain, Coachella, ce film revient sur la création de ce show hors normes, qui célèbre la culture noire et afro-américaine.

https://www.youtube.com/watch?v=R8cTqQ75DUQ

On en apprend ainsi davantage sur l’intimité de la chanteuse, notamment sur la naissance compliquée de ses jumeaux, mais surtout sur sa volonté de produire le meilleur spectacle possible, entourée des plus grands noms de la musique et de la danse. Dans Homecoming, Beyoncé montre à quel point elle est une bosseuse acharnée et surtout une artiste au propos politique toujours plus engagé.

À Coachella, en 2018, elle était ainsi la première femme noire en tête d’affiche du festival. Et elle en a profité pour faire monter sur scène, avec elle, tout un pan de la culture noire américaine, en puisant notamment dans les traditions universitaires. Cela donne un concert tout simplement spectaculaire, mené par une Beyoncé plus puissante que jamais, à la tête d’une fanfare impressionnante. Un tour de force historique, pour une artiste tout aussi légendaire.