Comme l'avait fait la justice française en fin d'année dernière, la justice italienne a jugé UberPOP illicite. Mais alors qu'en France le tribunal correctionnel de Paris avait sanctionné le principe du covoiturage lucratif, en estimant que les conducteurs et le prestataire ne devaient pas gagner d'argent et simplement diviser les frais réels engendrés pour le propriétaire de la voiture, le tribunal italien a estimé que l'activité UberPop constituait une "concurrence déloyale" à l'égard des taxis.

La société d'intermédiation de transport a annoncé son intention de faire appel de la décision du tribunal de Milan, qui lui impose de se conformer sous 15 jours.

Contrairement au service Uber classique qui emploie des chauffeurs professionnels, UberPop propose à n'importe quel propriétaire de véhicule qui dispose d'un permis de conduire depuis plus de 3 ans de louer ses services de transport, à un prix inférieur aux VTC et aux taxis. 


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