Selon l’association, c’est la démocratisation des graveurs dans les foyers anglais qui est à l’origine de ce phénomène. 4 millions de copies pirates auraient été gravés en 2001, tandis qu’ils s’attendent à ce que 152 millions de CD vierges ne le soient plus en 2002.
Toutefois la BPI ose à peine crier au scandale. Curieux ? Pas si l’on constate qu’alors que tous les pays du monde ou presque ont vu leur volume de ventes baisser d’environ 5%, celui du Royaume Uni a vu le sien augmenter d’autant. D’ici à mettre ces chiffres en relation avec les études qui tendaient à montrer que ceux qui pirataient des œuvres protégées étaient finalement de bons consommateurs, il n’y a qu’un pas.
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