Ca n’est pas un discours nouveau pour l’ancien conseiller de François Mitterrand. Déjà dans « Bruits », Jacques Attali défendait l’idée que la musique devait par nature devenir gratuite. C’était en 1977. L’économiste cher à Philippe Axel l’a redit ce week-end devant les majors et les vendeurs de musique, lors d’une conférence au Midemnet, le volet « nouvelles technologies » du salon de l’industrie musicale qui se tient cette semaine à Cannes. « Un contenu gratuit ne veut pas dire qu’il n’y a pas de modèle économique: les revenus viendront des concerts, de la publicité, de l’équipement », rassurait-il toutefois. Les industriels se succèderont cette néanmoins semaine pour dire comment, eux, espèrent toujours vendre de la musique comme n’importe quel bien de consommation. Et pourtant

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