Les membres du collectif StopDRM, qui avaient déjà lancé une initiative similaire après la parution de la loi DADVSI au journal officiel, iront se dénoncer au commissariat le 16 janvier prochain. Ils veulent pointer du doigt le décret publié par le gouvernement et qui prévoit des sanctions contre le contournement des DRM, sans exception lorsqu’il s’agit pour le consommateur d’assurer simplement l’interopérabilité. « Désormais acheter un DVD ou une chanson, c’est prendre le risque d’une amende de 750 euros si on en fait une copie de sauvegarde, si on le transfère sur un support différent ou bien si on le lit avec un logiciel libre », rappelle StopDRM. Le collectif StopDRM est toujours en attente d’une décision après la réception de leurs auto-dénonciations en septembre dernier.

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