Après sa rupture douloureuse avec Oculus, Palmer Luckey trouve refuge chez le rival Vive
Nous avions quitté Palmer Luckey en juin, alors qu'il pataugeait dans son fiel : le New York Times découvrait qu'il travaillait sur une startup de surveillance technologique pour créer « un mur virtuel sur les frontières ». Le jeune homme semble être passé à un autre projet : de retour dans la réalité virtuelle, il voudrait acheter Vive, filiale de HTC. Le fondateur d'Oculus a, pour rappel, quitté Facebook par la petite porte pour de multiples raisons : ses propos politiques, son soutien à Donald Trump (ainsi que ses mensonges sur ce soutien), une implication jamais cachée dans le gamer gate ainsi qu'un procès perdu pour vol de technologie. Devenu paria, le garçon cherche depuis un moyen de revenir sur le devant de la scène.Retour en réalité virtuelle
Une indépendance qui séduit Palmer Luckey, déjà prêt à investir dans cette firme concurrente de son Oculus. Comme pour prévenir de l'avancée des discussions à ce propos, le jeune homme a tweeté cette nuit qu'il prendrait la parole à la conférence de Vive lors du salon Tokyo Game Show.
https://twitter.com/palmerluckey/status/910525197869969409
Espérons pour ce jeune réactionnaire qu'il n'a pas seulement investi dans Vive pour avoir l'occasion de prendre la parole en public. Toutefois, les joueurs et amateurs de la marque de casques peuvent déjà s'inquiéter de voir ce dirigeant toxique s'offrir la firme.
En dehors de ses propos sur les pauvres, les Afro-américains, les femmes (etc.), Luckey s'est toujours distingué par une très mauvaise gestion de son image publique.
https://www.numerama.com/tech/245328-grandeur-et-decadence-du-pere-doculus-palmer-luckey-en-8-dates.html