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Snapchat est accusée d'avoir menti aux actionnaires sur sa capacité à résister à l'attaque d'Instagram

Snapchat aurait menti sur sa capacité de résister à Instagram, selon des actionnaires. Une enquête a été ouverte.

Snapchat a-t-elle volontairement sous-estimé la menace qu'Instagram pouvait représenter pour elle ? C'est en tout cas ce sur quoi enquêtent le Département de la justice américaine et le SEC, l'organisme fédéral en charge de la réglementation et du contrôle des marchés financiers.

Selon un article de l'agence de presse Reuters le 14 novembre, une enquête a été ouverte et Snap Inc, la maison mère de Snapchat, a été assignée à comparaître.

Le Département de la justice et la SEC cherchent à savoir si Snap a menti en mars 2017, lors de son entrée en bourse, afin de faire gonfler sa valorisation. Elle aurait sous-estimé auprès des actionnaires et du public à quel point le réseau social Instagram, détenu par Facebook depuis 2012, était un concurrent solide. L'impact de ce dernier sur la croissance de Snap aurait été plus important qu'indiqué.

Une plainte déposée en mai contre Snap

Une plainte avait été déposée en mai par plusieurs investisseurs, suite aux révélations d'un employé. Celui affirmait en janvier 2017 que Snap avait menti sur son nombre d'utilisateurs afin de faire gonfler sa valorisation en bourse. C'est la plainte qui a poussé la justice américaine à s'intéresser à l'entrée en bourse du réseau social de plus près.

Dans un communiqué transmis à Reuters, l'entreprise a indiqué qu'elle avait répondu à son assignation à comparaître, et qu'elle avait coopéré et fourni à la justice les informations demandées. Elle dit ne pas avoir de « visibilité totale » sur les investigations en cours et juge la plainte « sans fondement ».