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5G : 7 nouvelles stations expérimentales ont été autorisées en France

Les opérateurs poursuivent leurs tests sur la 5G. En octobre, plusieurs stations expérimentales ont été autorisées, dans les Bouches-du-Rhône et les Hauts-de-Seine.

Depuis le début de l'année, les opérateurs ont obtenu du régulateur des télécoms des  autorisations pour tester la 5G sur le territoire français. Plusieurs villes comme Bordeaux, Douai, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Toulouse ou encore Villeurbanne sont ainsi concernées par des expérimentations, en prévision du déploiement futur des réseaux mobiles en ultra haut débit.

Les quatre opérateurs n'en sont toutefois pas au même stade. Si des essais sur des sites pilotes sont en cours chez SFR, Orange et Bouygues Telecom, Free Mobile paraît un peu plus en retrait. Le groupe, bien qu'il ait obtenu une autorisation en octobre 2017 pour une expérimentation technique dans la bande 3,5 GHz, n'a pas encore mis en place de site pilote semblable à ce que fait la concurrence.

7 nouvelles stations 5G

La concurrence, justement, s'active. Le dernier bilan mensuel de l'Agence nationale des fréquences révèle ainsi que sept nouvelles stations expérimentales ont été autorisées pour la 5G. Les six premières sont opérées par Orange et sont surtout déployées dans les Bouches-du-Rhône. Seule une se trouve dans les Hauts-de-Seine. La septième quant à elle appartient à Bouygues Telecom et se trouve en Gironde.

Ces tests se déroulent dans la bande de fréquences 3,5 GHz, qui est celle proposant le plus de disponibilitéDébut 2018, le président de l'Arcep, Sébastien Soriano, a déclaré que ses services ont « identifié une dizaine de métropoles où des fréquences sont disponibles dans la bande de 3,5 GHz ». C'est cette bande qui a été réaménagée en 2017 au profit de l'ultra haut débit mobile.

Le régulateur a ajouté que « la bande 3,4 - 3,8 GHz a vocation à accueillir dès 2020 des services mobiles de cinquième génération », précisant au passage avoir identifié « une sous-bande de 80 MHz (3600 - 3680 MHz) » qui peut servir à « réaliser des pilotes 5G » aux entreprises qui en feraient la demande. En tout, une dizaine de sites pilotes doit être mise en place d'ici 2019.

Les expérimentations consacrées à la 5G font l'objet d'un suivi de l'Agence nationale des fréquences, qui propose chaque mois un tableau listant les supports autorisés pour chaque opérateur. Deux d'entre eux sont renseignés : Orange et Bouygues Telecom. Il permet de voir l'évolution des autorisations depuis août 2018 en France métropolitaine.