Du risque de cracker KaZaA
Une société dénommée GX Tech aurait été chargée de sécuriser le logiciel.
Plus fort encore, lorsqu'un utilisateur décide d'acheter KaZaA Plus, l'exécutable serait compilé à la volée par les serveurs pour incorporer en dur un numéro de série unique permettant de l'identifier. Les fraudeurs seraient ainsi facilement identifiables.
Enfin, Sharman chercherait à bloquer les versions actuellement craquées de son logiciel : Diet KaZaA et Kazaa Lite. La difficulté étant que Sharman n'aurait pas accès au code source du réseau FastTrack, toujours détenu en lieu inconnu par ses développeurs néerlandais.
Bien sûr, rien ne permet d'affirmer que ces rumeurs sont exactes. Mais cette source s'est déjà montrée très fiable dans le passé, ce qui porte à la croire une nouvelle fois...