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L'UFC Que Choisir se félicite des premiers abandons des DRM

L'ouverture coup sur coup d'une offre sans DRM de plus de 150.000 titres pour la Fnac et VirginMega a été applaudie comme il se doit par les consommateurs. L'UFC Que-Choisir, qui s'est battue entre autres sur le terrain de l'interropérabilité (réussissant récemment à faire condamner Sony), n'a pas tardé à réagir à l'abandon du sacre des DRM par les producteurs indépendants. L'association "se félicite du changement de cap de certains producteurs indépendants", et juge que "ces DRM sont en effet une vraie calamité pour les consommateurs et le développement du marché de la musique en ligne". "La loi DADVSI du 1er août 2006 en même temps qu'elle sanctuarise juridiquement les DRM ne reconnaît pas aux consommateurs le droit légitime à l'interopérabilité", rappelle l'UFC Que-Choisir pour qui les DRM "sont devenus le cheval de Troie de l'industrie informatique et des majors pour s'assurer, dès le départ, une maîtrise exclusive du marché". Elle demande "à tous les producteurs de permettre l'exploitation en ligne de leur catalogue sans verrous". Rappelons que les quatre majors, qui vendent 96 % de la musique vendue en France, refusent pour le moment d'abandonner les DRM. Cependant au moins une d'entre elles semble sur le point de faire un pas important dans cette direction.