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À Bâle, la police suisse va poursuivre les méchants avec des Tesla Model X

La police suisse a décidé de se doter d'une flotte de Tesla Model X, modèle 100D, pour leurs tâches routières. Un choix plus coûteux à l'acquisition mais économe sur le long terme. 

Au-revoir les Subaru diesel, bonjour les Tesla électriques. La police suisse veut elle-aussi épouser la motorisation de demain en remplacement du thermique. Une unité située à Bâle a effectivement décidé de s'offrir une poignée de Model X 100D. À l'acquisition, le département des forces de l'ordre va dépenser plus d'argent, ce qu'il compensera à long terme avec un entretien moins coûteux et une éventuelle revente avec un prix à la hausse. Mais au-delà du simple aspect financier, il y a les autres arguments affichés par le SUV de Tesla, évolutif technologiquement parlant et répondant aux besoins de la police lors des interventions.

Encore une victoire pour Tesla

Capable d'avaler le 0 à 100 km/h en 4,9 secondes et fournissant une accélération au démarrage sans équivalent, le Model X 100D paraît taillé pour répondre à des urgences comme une course-poursuite musclée avec des malfrats. Et l'autonomie ne sera pas un problème : non seulement la voiture peut tenir plus de 550 kilomètres mais la police de Bâle n'en a pas besoin d'autant (200 kilomètres d'utilisation en moyenne par jour). En performance pure, le Model X est donc largement suffisant, sachant qu'il offre un confort de conduite assez probant avec sa transmission intégrale. Une caractéristique d'autant plus importante pour le pilotage que la police s'attend à pourchasser des drones dans le futur.

Les agents ont également été séduits par les nombreux espaces de rangement offerts par le Model X 100D, un détail qui va de pair avec un métier reposant sur un équipement varié et prenant de la place. Il y a aussi la question d'exemplarité : en se dotant de voitures électriques, la police prouve qu'elle se soucie un tant soit peu de l'environnement.

Certains critiquent néanmoins ce choix, dans le sillage de Felix Wehrli, détective au Criminel Investigation Department. Il s’interroge, « Il apparaît incompréhensible de voir qu’un million de francs suisses est dépensé pour des véhicules qui n’ont pas été testés dans la vie policière de tous les jours ». Il peut être rassuré en voyant que d’autres polices ont déjà succombé à Tesla, que ce soit aux États-Unis ou en Europe.