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EZ-GO : Renault veut révolutionner le covoiturage avec un robot-véhicule autonome

Pendant le salon automobile de Genève, Renault a dévoilé un concept de robot-véhicule autonome pensé pour la mobilité urbaine partagée. Son nom ? Le EZ-GO. 

« L’objectif est de promouvoir de nouvelles façons de se déplacer dans les villes encombrées » : Renault annonce la couleur d'entrée avec son EZ-GO, un robot-véhicule pas bien joli sur les photos, mais qui pourrait dessiner une partie de la mobilité future au sein d'environnements urbanisés. Laissant le soin au prototype Symbioz de préfigurer la voiture de demain, la firme française présente ici un service plus qu'un produit.

Disons plutôt un tout-en-un permettant à des entreprises privées comme publiques de proposer des alternatives aux transports en commun utilisés aujourd'hui. « Nous avons conçu le concept-car EZ-GO en tant que symbole de la ville. Ce modèle électrique et autonome explore les avantages de la mobilité partagée pour tous  », précise Laurens van den Acker, directeur du design chez Renault.

Go, le taxi

Doté d'une capacité de conduite autonome de niveau 4, le Renault EZ-GO s'apparente à un cocon sans chauffeur, ni pédale, ni volant. En son sein, tout est conçu pour offrir un maximum de confort jusqu'à six personnes s'installant sur une banquette en forme de U. Et les ingénieurs n'ont pas oublié l'intégration d'une rampe pour faciliter l'accès à tout le monde, même aux personnes en fauteuil roulant. La vitesse limitée à 50 km/h, adaptée à un trajet en ville, ne brusquera personne tandis que la « vue dégagée à 360 degrés » est pensée pour la « relaxation ».

D'une certaine manière, l'EZ-GO répond à un besoin de « nouvelles solutions de mobilité », affirme Thierry Bolloré, directeur général adjoint. Et aussi à la volonté de s'inviter sur le marché du taxi autonome encourageant le covoiturage. Renault entend surtout donner naissance à un service simple : il pourrait être disponible sur demande, via une application ou des stations fixes réparties un peu partout. Sans oublier la promesse de la sécurité, encore plus vraie quand on entend déplacer des gens avec un véhicule autonome.

Selon les informations des Echos, le constructeur a déjà lancé des expérimentations en France, à Saclay et à Rouen. Le géant vise 2022 pour lancer une première offre commerciale.