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Le successeur du Blu-ray est prévu pour fin 2015

Le successeur immédiat du Blu-ray ne sera pas le disque holographique polyvalent (HVD). Bien que celui-ci offre une capacité de stockage de 3,9 téraoctets, un disque optique de nouvelle génération sera développé entretemps par Sony et Panasonic, qui ont déjà collaboré par le passé sur le Blu-ray. Ce nouveau support, prévu pour fin 2015, devrait disposer d'une capacité d'enregistrement d'au moins 300 gigaoctets.

Le Blu-ray aura un successeur. Dans un communiqué de presse publié ce lundi, Sony et Panasonic ont conclu un accord de principe pour développer conjointement un disque optique de nouvelle génération. Destiné à l'usage professionnel, ce nouveau support de stockage devra être en mesure d'héberger des données numérisées sur de longues périodes.

Quel sera l'espace de ce nouveau média ? Selon les deux entreprises japonaises, il faudra que celui-ci atteigne une capacité d'enregistrement d'au moins 300 gigaoctets avant la fin 2015. Autrement dit, ce support nouvel génération sera en mesure d'accueillir grossièrement trois fois plus d'éléments que les derniers Blu-ray (BDXL), capables de contenir entre 100 et 128 gigaoctets.

Dévoilé en 2000 lors du CEATEC, le Blu-ray s'est imposé comme l'héritier naturel du CD et du DVD, au grand regret des partisans du HD-DVD. D'une capacité initiale de 25 gigaoctets, la technologie Blu-ray a été améliorée au fil des ans via la constitution de couches intermédiaires : 50 gigaoctets (double couche), 100 gigaoctets (triple couche), 128 gigaoctets (quadruple couche).

Pendant un temps, Sony a toutefois laissé entendre que le Blu-ray allait être le dernier format optique développé par ses soins. Pour l'entreprise japonaise, d'autres types de mémoires de masse devaient prendre la relève. À l'époque, en 2008, Sony se montrait en effet perplexe sur la perspective de concevoir, à une échelle industrielle, un rayon laser doté d'une longueur d'onde plus courte encore.

L'entreprise semblait plutôt miser sur la mémoire flash et le disque holographique polyvalent (HVD), dont la démocratisation se fera à plus long terme. Celui-ci offre en effet une capacité de stockage considérable de 3,9 téraoctets. Ces disques HVD, s'ils ont un diamètre similaire aux autres disques, ont une épaisseur plus marquée (3,5 millimètres contre 1,2 millimètre pour les autres).