Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

Sarkozy.fr : Google refuse de toucher au "trou du cul du web"

Soucieux de ne pas faire entorse à son principe de non-intervention manuelle dans le classement des résultats de recherche, Google a fait savoir qu'il n'empêchera pas le site officiel de Nicolas Sarkozy d'apparaître en première place pour la requête "trou du cul du web"...

C'est le buzz de la semaine. Le site officiel de Nicolas Sarkozy fait l'objet d'un "Google Bombing" qui a pour classe de placer Sarozky.fr en tête des résultats lorsque l'internaute recherche "trou du cul du web" sur le moteur de recherche.

Après tout, l'anus précède le tout à l'égoût ou le caniveau, mais on se doute que l'affaire ne doit pas plaire au chef de l'Etat, qui ne porte déjà pas Internet en odeur de saintetéD'autant que Google ne fera rien pour modifier le résultat, qui résulte de ses algorithmes.

"Nous n'excusons pas cette pratique, ni aucune autre pratique visant à altérer l'intégrité de nos résultats de recherche, mais nous ne sommes pas plus enthousiasmés par l'idée de modifier manuellement nos résultats pour empêcher de telles informations d'apparaitre", explique Google dans un communiqué publié mercredi.

"Cette pratique malveillante du "Google Bombing" est peut-être divertissante pour certains, mais en aucun cas leur démarche n'affecte la qualité générale de notre moteur de recherche, dont l'impartialité reste, comme toujours, au centre de notre mission".

Déjà lorsqu'il avait été question d'obliger les moteurs de recherche à surréférencer les offres légales labellisées par l'Hadopi, Google avait réagit pour protéger l'intégrité de son algorithme. "Un moteur de recherche tel que Google détermine les résultats d'une recherche automatiquement sur la base d'algorithmes. Il n'y a pas d'intervention humaine qui viserait à juger qualitativement chaque site", nous avait indiqué à cette occasion Olivier Esper, responsable des relations institutionnelles de Google France.