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Comment refuser le progrès, par EMI

Les plateformes Peer-to-Peer payantes sont vues comme l'avenir de la distribution musicale en ligne. Pourtant, malgré un accord avec le service P2P 100% légal Wippit, EMI s'obstine à garder une vieille infrastructure centralisée.

Nous apprenions la semaine passée que Wippit, un réseau P2P anglais payant, avait signé un accord majeur avec la maison de disques EMI. Wippit offre à ses abonnés des téléchargements de musique illimités, pour $6.50/mois. Les commentateurs étaient heureux, soulignant l'ouverture d'esprit de la petite major, certains n'hésitant pas à dire qu'EMI est "la première grande maison de disques à prendre au sérieux cette nouvelle technologie".

Il faut dire que ça allait dans la logique des choses. EMI, plus petite des 5 majors en volume, devait faire preuve de dynamisme et d'ingéniosité pour rester dans la course avec ses copines les grandes. "Il faut apprendre à embrasser le P2P", avait même déclaré le senior vice-président pour le développement et la distribution numériques d'EMI, Ted Cohen, lors du dernier MIDEM.

Et bien c'est raté ! Les titres devront être téléchargés sur un service à la carte séparé, à 1,18 € l'unité. Embrasser le P2P, oui, mais pas question de faire dans le french kiss.