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Un Français est dans les finalistes du concours Nintendo Labo : « À la base, je ne comptais pas l'acheter »

Nous avons discuté avec Brice Thomas, ingénieur qui fait partie des finalistes du concours de création Nintendo Labo Europe.

Brice Thomas, ingénieur à la ville, représentera la France lors de la grande finale du Nintendo Labo Creators Contest -- dans la catégorie Créations. Il remportera peut-être la récompense suprême, à savoir une Switch collector avec une finition qui fait penser à du carton. En attendant le verdict, nous avons posé quelques questions à celui qui se définit comme un grand fan de S.O.S. Fantômes, d'où son mini-jeu en forme d'une chasse aux ectoplasmes.

L'intéressé a été séduit d'entrée par les possibilités offertes par le Nintendo Labo. « J'aurais adoré étant petit », confie-t-il. Toutefois, c'est davantage l'Atelier qui l'a amené à franchir le pas : « à la base je ne comptais pas l'acheter », nous confie-t-il. On connaît la suite de l'histoire : aujourd'hui, il est finaliste d'un concours majeur.

Deux mois de travail pour un « attrapeur de fantômes »

À la lecture de la vidéo de présentation de son Toy-Con, on pourrait croire que Brice Thomas adore Luigi's Mansion, relecture de S.O.S. Fantômes à la sauce Nintendo. « Fan non mais j'aime beaucoup ! Il a été le premier jeu GameCube qu'on a eu avec mon grand-frère et il nous a bien marqués », nous explique-t-il. «C'est plutôt S.O.S. Fantômes que j'adore : les films, jouets et dessins animés ont bercé une bonne partie de mon enfance. »

Pour donner naissance à son Kit Chasseur de fantômes, Brice Thomas a sacrifié une bonne partie de son été, de début juillet à fin août. « J’ai fait ce projet entièrement sur mon temps libre. Entre autres, je me levais plus tôt tous les matins pour avancer. Mais le plus gros a été fait pendant les week-end », assume-t-il.

De part son métier -- ingénieur software --, il a été beaucoup plus à l'aise sur la partie logicielle que sur l'assemblage. Sur ce point, il précise, « Les obstacles que j'ai rencontrés ont surtout concerné le Toy-Con. Je ne suis pas manuel et je n'avais encore jamais fait ne serait-ce qu'une boîte en carton. En plus je me suis donné la contrainte de ne pas utiliser de colle ou de ruban adhésif pour garder l'esprit Labo. Tout devait s'emboîter et se tenir. Il y avait de vraies contraintes physiques. »

À l'arrivée, il est très fier de sa création et rajouterait seulement des bruitages supplémentaires s'il le pouvait. À tel point qu'il croit en ses chances de remporter le concours à l'échelle européenne. Pourquoi son expérience n'est-elle jouable qu'à deux ? Car, pour lui, « l’intérêt majeur de la Nintendo Switch c'est de pouvoir jouer à plusieurs, facilement. »