Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

Le PDG de Google « ne regrette pas » avoir renvoyé James Damore

Sundar Pichai s'est exprimé, lors d'une interview, sur le renvoi de l'ingénieur auteur d'un manifeste sexiste. 

Le PDG de Google Sundar Pichai a affirmé, vendredi, lors d'une interview avec le site spécialisé Recode et la chaîne MSNBC, qui sera diffusée le 26 janvier, qu'il ne regrettait pas d'avoir renvoyé James Damore. « Je regrette que les gens aient cru que nous avions pris cette décision à cause d'une opinion politique, d'une manière ou d'une autre », a toutefois expliqué le dirigeant. Il a précisé qu'il aurait aimé que cette histoire n'ait pas été médiatisée « d'une manière aussi polarisée ».

L'ancien ingénieur de Google James Damore avait été démis de ses fonctions en août 2017, après qu'un manifeste qu'il avait publié en interne avait été rendu public. Il y critiquait la politique de diversité de son employeur, et affirmait notamment que des différences biologiques expliquaient la faible présence de femmes à des postes d'ingénieur. Il a notamment été renvoyé pour avoir contrevenu au « code de conduite » de Google.

« La bonne décision »

Pour Sundar Pichai, « il est important pour les femmes de Google, et pour les employés de Google, que nous voulions créer un environnement inclusif »Susan Wojcicki, la PDG de YouTube, qui participait à l'interview, a ajouté que pour elle, le renvoi de Damore était « la bonne décision ».

James Damore a récemment déposé une plainte contre Google, avec un autre ancien employé, pour « discrimination envers les hommes blancs conservateurs »L'un des arguments principaux de l'ingénieur dans son mémo était que les efforts de Google pour plus de diversité n'avaient pas de sens, les femmes étant selon lui biologiquement moins aptes à être ingénieures ou programmeuses, et que l'entreprise créait un environnement hostile aux conservateurs.