Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

Pour Google, les lunettes Google Glass représentent l'avenir

Google ne cache pas son excitation vis-à-vis du projet Glass. Ces lunettes à réalité augmentée, dont la commercialisation est envisagée pour 2014, représentent l'avenir, selon son PDG. Pour d'autres, ce dispositif très futuriste porte en lui les germes d'un avenir cauchemardesque.

Aux dernières nouvelles, Google prévoit de commercialiser les lunettes Google Glass en 2014. Bien décidée à maintenir les technophiles en haleine jusqu'au jour où ce dispositif sera mis en vente, l'entreprise américaine ne manque pas une occasion de communiquer sur son projet. Quitte à en parler avec un enthousiasme appuyé, à l'image des récents propos de Larry Page.

Le PDG de Google a ainsi confié à la presse, lors de la conférence sur les résultats trimestriels du groupe, son attachement tout particulier aux lunettes Google Glass. "J'adore utiliser Glass parce cela me donne l'impression de vivre constamment dans le futur, ce qui est à mes yeux vraiment, vraiment excitant". Mais si le projet est indéniablement futuriste, encore faut-il que cet avenir ne vire pas à la dystopie.

Car les lunettes Google Glass inquiètent. Outre la CNIL, qui a adressé un courrier à Google pour obtenir des informations complémentaires, des craintes liées à la vie privée, la propriété intellectuelle ou la sécurité routière se ne sont pas complétement apaisées. Et cela, malgré l'annonce de Google sur le rejet de la reconnaissance faciale comme fonctionnalité de Glass.

Les lunettes ont été nominées au Big Brother Awards 2013, mais n'ont décroché aucune distinction. Dans sa fiche dédiée, les responsables des Césars de la surveillance ont jugé que ce système fera de chaque individu "une partie de Big Brother. On ne sera plus épié par un pouvoir, une hiérarchie, mais chacun se fera acteur de ce nouveau mode de surveillance, un mix entre co-veillance et sous-veillance".