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Nice : le retard de l'application SAIP dû à une série de problèmes

Selon une enquête du Monde, c'est un câble de fibre optique sectionné le 13 juillet, cumulé à une absence de redondance dans l'hébergement, et à un bug dans le contrôle de disponibilité, qui aurait provoqué un retard de plus de deux heures dans le déclenchement de l'alerte SAIP après l'attentat de Nice du 14 juillet.

« Tout ce qui est susceptible de mal tourner, tournera nécessairement mal », dit la fameuse loi de Murphy, héritée du principe défini par l'ingénieur aérospatial américain Edward A. Murphy Jr. Or même s'il n'y a pas de fatalité dans l'enchaînement des erreurs et des problèmes, c'est effectivement ce qui semble s'être passé le jeudi 14 juillet lorsque l'application SAIP du gouvernement, censée alerter d'une catastrophe en cours, s'est réveillée avec plusieurs heures de retard. L'alerte s'est affichée à 1h34, deux heures après la tuerie.

Le retard fut finalement sans conséquence, puisqu'il ne s'agissait pas d'attentats coordonnés qui risquaient de s'enchaîner dans le même secteur, mais de l'acte isolé d'un homme, aussi soudain que dévastateur. Aucune alerte même en temps réel n'aurait pu en diminuer les effets. Néanmoins, le bug qui a provoqué une réunion de crise à Matignon est du plus mauvais effet pour la communication gouvernementale, et ses implications auraient pu être bien plus graves dans un scénario différent tel que celui des attentats de novembre 2015. D'où l'importance d'en comprendre l'origine.

saip2

Or selon une enquête du Monde, tout ce qui aurait pu mal tourner a mal tourné :

Depuis le 18 juillet, normalement, une redondance est en place. Une redondance dont on se dit tout de même, expérience ou non de Deveryware, qu'elle aurait dû être prévue et imposée dès le départ.