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Amazon trouve un terrain d'entente avec les majors pour Cloud Drive

Les rapports entre les maisons de disques et Amazon rentrent dans l'ordre. Un an après le lancement de Cloud Drive et Cloud Player, les deux parties ont manifestement trouvé un terrain d'entente à travers la conclusion d'accords. Trois majors auraient déjà signé, tandis que la dernière serait sur le point de le faire.

Amazon est en passe d'assainir ses relations avec les maisons de disques, qui ont été durement ébranlées depuis que le site de commerce en ligne a lancé l'an dernier Cloud Drive et Cloud Player sans aucune licence. D'après les informations collectées par CNET, Amazon aurait signé des accords avec les "Big Four" pour étendre les fonctionnalités de son service en ligne.

Plus exactement, un terrain d'entente a été trouvé avec Universal Music Group et Sony Music Entertainment et EMI. Seul manque à l'appel Warner Music, mais son feu vert est pratiquement acquis. Les négociations sont en bonne et la signature de l'accord est désormais une question de jours.

En faisant un pas vers les majors, Amazon ne cherche pas seulement à calmer leur courroux. Le service américain s'ouvre aussi de nouvelles perspectives pour améliorer la qualité de son service, en toute légalité. C'est par exemple le cas d'une fonctionnalité déjà présente dans iCloud, qui permet d'enrichir le dossier musical de l'utilisateur sans que celui-ci ait besoin d'uploader lui-même ses chansons.

Il suffit pour cela qu'Amazon scanne la bibliothèque musicale de son client et duplique automatiquement les chansons, en s'appuyant sur Amazon MP3. Sa boutique de vente de musique dispose en effet d'un catalogue de plus de 16 millions de titres. De quoi couvrir la majorité des cas de figure. Et dans l'hypothèse ou un titre ne figure par sur Amazon MP3, il restera toujours la possibilité de l'envoyer en ligne soi-même.

Auparavant, Amazon avait justifié l'absence d'accords avec les ayants droit en mettant en avant son statut d'hébergeur, c'est-à-dire d'intermédiaire technique. Les majors en revanche considéraient que le service du cyber-marchand en faisait un éditeur de service. Or, ce dernier doit payer une licence.