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Google assure que Google+ n'est pas une ville fantôme

Google doit régulièrement défendre son nouveau réseau social, Google+, qui souffre d'un déficit d'image. Encore récemment, le responsable de la plate-forme a assuré qu'elle n'était pas une ville fantôme. Selon les chiffres du géant américain, 50 millions d'utilisateurs fréquentent quotidiennement le site.

Lancé à la fin du mois de juin 2011, Google+ a vu le jour avec l'ambition d'apparaître comme une alternative crédible et attrayante à Facebook. Très vite, le groupe américain s'est empressé de communiquer autour du succès de son nouveau réseau social, ici en évoquant une demande insensée, là en montrant la popularité du service. Et aujourd'hui, il y aurait plus de 100 millions de membres sur Google+.

Est-ce à dire que Google+ est un vrai succès ? Cela dépend évidemment si l'on voit le verre à moitié vide ou à moitié plein. Nombreux sont les services qui aimeraient attirer 100 millions de membres en l'espace de dix mois et rares sont ceux qui sont capables de le faire. Mais en même temps, le site communautaire du géant californien n'est pas encore au niveau de Facebook.

Google va donc poursuivre son matraquage pour persuader les internautes non-inscrits de rejoindre Google+ tout en continuant de dorloter sa plate-forme. Car celle-ci semble souffrir d'un déficit d'image, comme le remarque le New York Times. Preuve en est, le vice-président senior en charge du business social, Vic Gundotra, a dû livrer des données pour démontrer l'intérêt des internautes envers Google+.

Google+ aurait donc pas moins de 100 millions d'utilisateurs actifs par mois et la moitié d'entre eux (50 millions) se connecterait chaque jour au réseau social. À titre de comparaison, Facebook compterait 845 millions d'utilisateurs actifs mensuels et 483 millions d'entre eux se branchent quotidiennement au site communautaire, selon les statistiques de décembre.

Il est vrai que Facebook est né sept ans avant Google+, en 2004. Mais ce décalage disparaîtra bientôt, selon Vic Gundotra. "Non seulement Google Plus n'est pas une ville fantôme" a-t-il souligné, mais en plus "nous n'avons jamais vu quelque chose croître aussi vite. Jamais" assure-t-il. Des propos sans doute un peu trop enthousiastes, surtout au regard du succès de YouTube, Gmail, Android ou Google Chrome.

Une chose est sûre, Google reste déterminé à s'imposer dans le réseautage social, qui est désormais un secteur stratégique pour l'entreprise mais qui est aussi l'occasion de prendre sa revanche après les échecs de Buzz, Orkut et Wave.