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Google aurait proposé 4 milliards de dollars pour acheter Twitter

Le site de microblog Twitter est-il le nouveau centre d'intérêt des moteurs de recherche ? Des rumeurs indiquent que Google aurait proposé jusqu'à 4 milliards de dollars pour mettre la main sur le site communautaire. Microsoft serait également très intéressé par Twitter.

Google considère-t-il Twitter comme une opportunité stratégique ? Selon les informations de Business Insider, le géant américain aurait évoqué à plusieurs reprises l'idée d'un rachat du service de microblog. Et la firme de Mountain View serait particulièrement déterminée à acquérir Twitter. En effet, il est question d'une offre située entre 2,5 milliards et 4 milliards de dollars (environ 1,83 milliard à 2,92 milliards d'euros).

À travers ce rachat, le géant américain chercherait surtout à éviter se faire doubler par un autre concurrent. En effet, certaines sources anonymes ont expliqué que Microsoft était également intéressé par le site communautaire. Twitter, qui cherche à lever de nouveaux fonds pour se développer, serait évalué au minimum à 3 milliards de dollars, selon Techcrunch.

L'attractivité de Twitter n'est pas nouvelle. L'an dernier, les deux moteurs de recherche avaient accepté de payer pour intégrer les messages de Twitter dans les résultats d'une recherche. Grâce à cet accord entre Twitter d'une part et Google et Microsoft d'autre part, les deux moteurs de recherche peuvent améliorer leurs résultats en s'appuyant sur la recherche en temps réel.

Il s'agit d'une évolution notable dans l'activité de ces deux moteurs de recherche. Notamment en ce qui concerne Google. Jusqu'à présent, le géant de Mountain View n'avait sans doute jamais payé un site pour référencer son contenu et exploiter sa technologie. Au risque de rentrer dans une logique d'exclusion des plates-formes alternatives.

Comme nous l'écrivions alors, "pour la première fois dans l'histoire de Google, tous les sites ne sont plus mis sur un pied d'égalité et référencés de la même manière. Il y aura ceux qui auront assez de poids pour négocier des accords et être référencés en temps réel et les autres qui seront mis à l'arrière-plan".