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Le "trou du cul" de Sarkozy : l'UMP veut connaitre la position de Mitterrand

Dans une question adressée au gouvernement, un parlementaire UMP a voulu connaitre la position du ministre de la culture sur l'affaire du Google Bombing qu'a subi Nicolas Sarkozy ces derniers jours.

Publiée avant-hier dans le Journal officiel, une question écrite du député UMP Jacques Remiller est revenue sur l'affaire du Google Bombing qui a frappé Nicolas Sarkozy il y a quelques jours. Le parlementaire s'est ému de voir le président de la République être "victime [...] d'un référencement sauvage sur Internet". Par conséquent, il a souhaité connaitre la position de Frédéric Mitterrand sur ce sujet.

"Depuis quelques jours, le Président de le République est victime d'un "Google bombing", c'est-à-dire un référencement sauvage sur Internet faisant apparaître sa page officielle sur Facebook en tête des résultats quand les internautes tapent des mots grossiers sur le numéro un des moteurs de recherche" est-il expliqué.

"Ce phénomène nécessite l'action conjuguée de sites Internet et d'internautes : plus ils sont nombreux à associer le mot-clé et l'adresse choisis, et plus l'algorithme de Google fait remonter cette référence dans la hiérarchie de ses résultats". Et de demander au ministre de la Culture et communication ce qu'il en pense.

S'il est évident que Frédéric Mitterrand va déplorer cette campagne contre Nicolas Sarkozy, le ministre pourra difficilement donner d'autres suites à cet évènement. L'an dernier, le président de la République avait déjà subi un Google Bombing. À l'époque, Google avait expliqué qu'il ne comptait pas intervenir manuellement dans ses algorithmes pour corriger le tir.

"Nous n'excusons pas cette pratique, ni aucune autre pratique visant à altérer l'intégrité de nos résultats de recherche, mais nous ne sommes pas plus enthousiasmés par l'idée de modifier manuellement nos résultats pour empêcher de telles informations d'apparaitre" avait-il été expliqué dans un communiqué.

Plus récemment, Google a de nouveau mis en avant l'impartialité de ses résultats lorsque Michelle Obama fut présentée comme une guenon dans les résultats de Google Images. "Google estime que l'intégrité de ses résultats de recherche est d'une extrême importance. Ainsi, nous ne supprimons pas une page de nos résultats au simple motif que son contenu ne convient pas ou parce qu'elle entraine des réclamations".