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Une certaine définition de l'interopérabilité...

01Net publiait vendredi une interview de Jack Lacy, le président du consortium Coral chargé d'établir un standard pour faciliter l'interopérabilité des DRM. Il y avance une solution qui a de quoi laisser songeur...

Fort opportunément, le journaliste de 01Net s'interrogeait sur la manière dont Coral s'y prendrait pour assurer la compatibilité entre les formats de DRM.

"[Un scénario] serait de permettre à ceux qui ont acheté une œuvre numérique (musique, vidéo....) de la télécharger à nouveau sans avoir à payer une deuxième fois, mais avec un nouveau DRM, compatible avec leur matériel", explique Jack Lacy.

Nous ne devons pas avoir la même définition de ce qu'est une compatibilité, ni encore moins de ce qu'est l'interopérabilité.

La première solution avancée par le président de Coral ressemble elle à une usine à gaz : "Un organisme pourrait délivrer un certificat afin d'autoriser la traduction, de manière automatique et transparente, d'un DRM vers un autre, tout en conservant l'état des droits attachés au contenu (nombre de copies autorisé, limite de durée...) et la nature du fichier numérique".

Combien HP, Sony, Philips, Samsung, Matsushita, Twentieth Century Fox et Intertrust comptent-ils investir chacun dans ce consortium qui semble déjà bien mal parti pour apporter une véritable solution au problème de l'interopérabilité des systèmes ? 

Sans doute beaucoup trop.