Une erreur dans le texte ?

C'est le bon endroit pour nous l'indiquer !
Attention, ce formulaire ne doit servir qu'à signaler une erreur. N'hésitez pas à utiliser la page de contact pour nous contacter ou nous faire part de vos suggestions. Merci.

Etape 1

Cliquez sur les paragraphes contenant des erreurs !

Free récompense les abonnés infidèles

Fêtant cette année ses 10 ans d'existence, Free lance une opération assez novatrice à destination de ses anciens adhérents. Le FAI offre six mois d'abonnement gratuit s'ils décident de laisser tomber la concurrence pour revenir chez Free.

Comment attirer de nouveaux abonnés ? C'est la question essentielle pour les FAI français. Le marché étant surtout dominé par trois grands acteurs (Orange, SFR/Neuf et Free), il n'est pas évident pour les équipes marketing de proposer des offres vraiment différentes des concurrents. Offre triple ou quadriplay, remboursement des frais de résiliation, accès à l'Internet 3G à petit prix... ce n'est pas les pistes qui manquent. Mais est-ce vraiment convaincant pour l'internaute ?

Le fournisseur d'accès Free a tenté une autre approche : séduire les anciens clients qui sont partis vers d'autres cieux pour les persuader de revenir. Pour cela, l'opérateur propose une formule pour le moins originale. Si vous êtes un ancien client et que vous êtes actuellement chez la concurrence, Free vous offre six mois d'abonnement gratuit si vous revenez. Cela représente une somme de 179,94 euros.

Mais pour que cela ne grève pas trop les finances de l'opérateur, Free a posé certaines limites. Tout d'abord, il faut avoir reçu un e-mail de la part du FAI vous invitant à bénéficier de cette offre exceptionnelle. Ensuite, le nombre de places est limité à 1 000 anciens Freenautes. Vu le nombre assez faible de places disponibles, cela risque de partir assez vite, d'autant que l'opération prend fin le 10 juillet prochain. Enfin, Free veut éviter les plus futés qui seraient tentés de résilier leur abonnement Free pour en reprendre un autre aussitôt derrière. Il faut donc impérativement que l'internaute dispose d'un abonnement actif chez un concurrent.