Mouais…
Honteux : aucune place pour les indés ou les autoproduits (sauf à passer par The Orchard, qui si ça se trouve ne signe même pas d’artistes non étatsuniens…), or, à ce que je sache, au niveau juridique, les droits d’auteurs (vous savez, ce truc sur lequel ils s’appuient pour justifier leur chasse au pirate, DADVSI et autres HADOPI) ne se limittent pas aux seuls artistes signés en major…
Je pense qu’il faudrait que se crée une union entre tous les syndicats de producteurs indépendants au monde (comme l’UFPI en France), une union des artistes indés et autoproduits, et une union des sociétés d’auteurs (SACEM, GEMA, SIAE, STIM…) dont la majorité des adhérents ne travaillent pas pour les majors, pour ENSEMBLE faire valoir le droit de TOUS les artistes, et pas juste d’un “happy (?) few” sélectionné par je ne sais quel directeur art… euh directeur commercial à une juste rémunération.
Le modèle de financement par la pub est un bon modèle, maintenant le numérique permet de l’étendre à tous les artistes, alors pourquoi - à part d’évident intérets des majors - limiter le système à ces dernières ?
Exigeons une alliance public-artistes-indés-sociétés d’auteurs pour que le droit à une rémunération équitable, basée sur le financement par la publicité et non basé sur les sondages, soit un droit pour tous (autoproduits, indés et majors) dans la société 2.0