Je ne résiste pas partager cet article de Nicholas Thompson et Fred Vogelstein paru dans Wired le mois dernier et que j’ai lu comme un roman.
Affaire Cambridge Analytica, coup bas, ratages, Soros, tout y est. L’équation en apparence insoluble qu’a à résoudre un réseau social, avec ses composantes politiques, économiques, morales, vue de l’intérieur.
60 000 signes, anglais standard.
Bonjour et merci pour ce partage, bien que ca fait revenir en arrière 
Pardon, je n’ai pas fini d’écrire, que le message est partie 
Depuis cette affaire je fais attention à mon comportement sur FB, par exemple, j’évite de regarder on live, je préfère du download facebook video, que de contribuer à l’augmentation de l’audience d’un tel ou tel, qui travaille pour on ne sait pas qui… 
J’ai quitté Facebook après avoir compris qu’il était centré sur le moi au lieu d’être centré sur des thèmes.
Des discussion sur le moi n’ont aucun intérêt à part dans un cercle intime, et Facebook est antinomique d’intimité.
De plus, l’apparition de posts d’inconnus m’a indisposé, ainsi que son insistance poisseuse à me proposer des amis de mes amis. Si on suit cette pente, on se retrouve avec toute la planète dans son salon, et c’est épouvantablement bruyant.
Il ne te surprendra pas que je ne pratique pas non plus Twitter.
Je comprends ton attitude, il est sain!
Moi, j’utilise les filtres, pour avoir moins des’intrus, car je n’utilise FB que pour être en contacte avec qq amis proches, mais qui habitent à l’étranger. Twitter je n’ai jamais aimé, Insta - encore moins. Je me sers aussi de LinkedIn, mais c’est conditionné par mon job.